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K-hole a utilisé son clavier pour écrire :En principe, la loi devrait l'empêcher. Mais il y aura toujours des moyens de la contourner, par exemple si l'on a, parmi ses relations, un médecin complaisant.Le 14/05/2025 à 16:34, ?Stéphane a écrit :Si on propose une façon de passer de vie à trépas sans douleur et en douceur, ça peut même tenter des gens non malades...Le 14/05/2025 à 11:56, Lebref a écrit :>>Le choix de décider de sa fin est noble. Cependant, un contexte économique défavorable pourrait permettre, comme c'est déjà le cas au Canada, aux états de pousser les plus faibles à se dire que leur vie misérable ne vaut pas le coup et doit être abrégé. Le conditionnement social induit par les assurances et mutuelles poussent déjà pour lutter contre les soins palliatifs.
Si Macron interroge les Français afin de savoir s'il faut en finir avec la
vie de l'actuel président, il peut obtenir une adhésion massive.
La pression psychologique peut être énorme, surtout sur une personne affaiblie par la maladie. C'est comme l'extubation terminale, quand on arrête la ventilation artificielle à un patient intubé, ce qui entraîne son décès.
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La décision est collégiale et l'accord de la famille nécessaire, mais j'ai été témoin de la pression "amicale" exercée par le corps médical sur la famille. Sachant qu'une chambre en réa coûte environ 3000 euros/jour, on peut imaginer qu'on n'a pas intérêt maintenir en vie indéfiniment des gens condamnés.
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Avec l'aide à mourir (ie. suicide assisté), je pense que les personnes fragiles, en fin de vie, qui auraient pu bénéficier de soins palliatifs et d'une sédation, vont être *incitées* à opter pour cette solution afin de partir plus vite et ne pas être un poids pour leur famille, pour la société.
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