Re: "Votre président a peur de venir"

Canta Galet :

Mr Henri :

P Cormoran :
 

Paul Gasnier, journaliste du Quotidien, a demandé à l’envoyé spécial du
Kremlin, Medinsky, comment on dit "Votre président a peur de venir" —
en parlant de Poutine.
 
Il n'a pas répondu et s'est rapidement enfui.
 
https://x.com/front_ukrainian/status/1923040462480257236
 

Se plier au désir de Zelinsky serait reconnaître une position de
faiblesse sur le plan militaire qui n'existe pas. Rappelons quand même
que Zelinsky a fait voter des lois pour interdire toute négociation. Le
fait qu'il contrevienne montre clairement qu'il n'est pas en état de
dicter ses conditions.

 
Vous avez beau tenter de camoufler votre désarroi à l'endroit du gnome
du Kremlin,
 
votre modèle de dictateur est un trou du cul doublé d'un criminel de
guerre comme tous les dictateurs, communistes, socialistes et autres.

Un dictateur est forcément de droite, extrême ou non, il n'y a pas de
dictateur communiste, seulement des dirigeants consensuels, fermes mais
bienveillants.

Zelinski par exemple est un dictateur, soutenu par les Américains ;
Zelinski est le Pinochet européen.