Re: que va faire l'iran ?

Volkin a formulé la demande :

P Cormoran wrote:

Mr Henr vient de nous annoncer :

lun. 16 juin 2025,  P Cormoran <pc@ue.com> disait :
>

Dans son message précédent, Lebref a écrit :

P Cormoran :
>

Vous êtes au courant que ça fait 45 ans que le régime des mollahs
menace d'anéantir Israël. Ils s'attendaient à quoi à la longue ?

>
Foutaises, le remodelage du Moyen-Orient par les sionistes a commencé
il y a plus de deux décennies, tous les opérations de changement de
régime ont prétexté les armes de destruction massive cherchant à
provoquer la disparition de la colonie d'émigrés européens au Levant.
>
L'Iran n'est que le dernier d'une longue liste d'assassinats
individuels et de meurtres de masse par l'entité sioniste, et
d'opérations de changements de régime qui n'ont rien à envier au
troisième Reich.

>
Quand on commence à parler d’"entité sioniste" et de "colonie
d’émigrés européens", on ne parle plus politique, on recycle les
fantasmes antisémites d’un autre siècle. Comparer Israël au Troisième
Reich, c’est franchir une ligne : pas seulement celle du bon sens,
mais aussi celle de la décence.
>
On peut critiquer Israël — et il y a de quoi. Mais quand on adopte le
langage de la haine, on ne défend plus une cause, on l’enterre.

>
Alors que tes amis pratiquent un langage d'amour et de générosité à
l'égard des populations palestiniennes qui occupaient les lieux depuis
plus de deux millénaires. Ils leur demandent gentiment de partir avant
d'envoyer des bombes sur leurs lieux de vie.

 Ce que fait le gouvernement israélien peut et doit être critiqué. Mais répondre à la violence par le venin verbal ne rétablit pas la justice. La haine ne rééquilibre pas les torts, elle les propage. Et vous semblez y prendre plus de plaisir qu’à défendre réellement les Palestiniens.

>
C'est juste.
>
Ce n'est pas bien, la haine, le venin verbal, tout ça.
Mais il faut s'attaquer à la cause, pas aux conséquences.
Antisémitisme ? Alors il faut s'attaquer aux causes de l'antisémitisme.
Antisionisme ? Pareil. Supprimons le terreau sur lequel ça pousse.
Si deux protagonistes n'arrivent pas à s'entendre il faut
en supprimer un, et ça ira mieux, c'est juste du pragmatisme.

"Supprimer un protagoniste" au nom du pragmatisme, c’est la logique des bourreaux, pas des bâtisseurs de paix. Ce n’est pas lutter contre les causes de la haine, c’est lui donner les pleins pouvoirs. L’Histoire a déjà testé cette méthode. Elle n’a produit que ruines et regrets.