Sujet : Re: Les ailes de Saint Jean Baptiste
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Groupes : fr.soc.religionDate : 23. Mar 2024, 01:39:01
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In article <
kQORxzdr6Aczyoqf_VanS3gc8nM@jntp>,
r.hachel@tiscali.fr says...
Le 22/03/2024 à 20:06, Cardinal de Here a écrit :
Le 11/03/2024 à 20:10, Richard Hachel a écrit :
Le 11/03/2024 à 17:41, Cardinal de Here a écrit :
Dans la peinture chrétienne les personnages ailés sont des messagers
de Dieu ou des messagers du mal. Quand c'est le mal ils sont noirs ou
représentés comme des monstres, des dragons ou des serpents ailés.
>
Messager ? En hébreu messager se dit maleak, traduit en grec par
aggelos, décalqué en latin par angelus, décalqué en français par ange.
Sauf que...
Vous connaissez Hachel, il est infernal.
Si l'on voulait mettre des ailes d'ange. On mettrait plutôt des ailes
blanches.
Or, ce ne sont pas des ailes blanches.
Non !
https://panoramadelart.com/analyse/lannonciation
Je ne crois pas DU TOUT qu'on voulait faire passer Jean le Baptiste pour
un ange...
C'est beaucoup plus fin que ça, il ne faut pas qualifier les artistes de
l'époque de crétins.
Mais alors, Jean il avait des ailes de QUOI?
De poulet ?
Pas loin.
Try again.
Ailes de raie ?
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Jean avait des ailes… C’était un rêve éveillé, une fantaisie qui le portait au-delà des nuages.
Ses ailes, légères et diaphanes, étaient tissées de souvenirs et d’espoirs. Elles lui
permettaient de s’envoler vers des horizons inexplorés, là où les étoiles dansaient et où les
secrets du monde se dévoilaient.
Ses ailes étaient faites de plumes de liberté, de brises matinales, et de rayons de soleil.
Elles frémissaient au rythme des saisons, vibrant avec la promesse d’aventures à venir. Jean
pouvait sentir le vent caresser ses joues, tandis qu’il planait au-dessus des montagnes
enneigées et des forêts mystérieuses.
Mais il y avait aussi un poids dans ces ailes. Un fardeau invisible, comme une mélodie triste
qui résonnait dans son cœur. Car avec chaque vol, Jean laissait derrière lui des morceaux de
lui-même. Des souvenirs d’amours perdus, des rires partagés, des moments de doute et de peur.
Un jour, alors qu’il survolait un champ de coquelicots, Jean sentit ses ailes s’alourdir. Il se
posa doucement sur une branche d’arbre et regarda le ciel. Les étoiles scintillaient, et il sut
que son voyage touchait à sa fin. Il avait exploré les cieux, mais il était temps de revenir
sur terre.
Jean replia ses ailes avec tendresse, les rangeant dans un coin secret de son âme. Il savait
que même sans elles, il garderait toujours la capacité de rêver et de s’émerveiller. Et peut-
être, un jour, il retrouverait ses ailes et s’envolerait à nouveau vers l’inconnu.
Ainsi, Jean avait des ailes de rêves et de souvenirs, de joies et de mélancolie. Elles étaient
à la fois sa liberté et son ancre, son histoire gravée dans le ciel étoilé.