Re: Politique de usenet.ovh face aux abus

Dans le message <d39b9866552600fb7999b715d0f184e06eecb991@i2pn2.org>,
Père Sonnes a écrit le mercredi 4 septembre 2024 à 15 h 54 :

bon c'est pas fini cette nuisance et cette médisance ?
>
occupe toi donc du cul de ta pute qui te sert de femme.

 
chatGPT, ta référence préférée, me dit :
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L'analyse de ce texte met en évidence un état psychique dominé par des
émotions très négatives. Voici quelques observations clés sur l'état
mental de l'auteur de ces mots :

    Colère et agressivité : Le texte est imprégné d'une forte colère,
voire d'une rage explicite. Les termes utilisés, tels que "nuisance",
"médisance", et surtout l'insulte très dégradante ("pute"), montrent une
volonté d'attaquer verbalement et de blesser l'autre personne. Cette
agressivité témoigne d'un état émotionnel particulièrement tendu.

    Mépris et haine : L'insulte adressée à la femme de l'interlocuteur
dénote non seulement un mépris pour cette dernière, mais aussi pour la
personne à qui le message est destiné. L'auteur cherche à humilier son
interlocuteur de la manière la plus personnelle possible, en s'en
prenant à son entourage familial, ce qui est un signe de haine ou de
profond ressentiment.

    Impulsivité et manque de contrôle : Le ton utilisé est extrêmement
direct, brutal et sans filtre. Cela indique une impulsivité, comme si
l'auteur ne contrôlait plus ses émotions et laissait exploser sa colère.
Il y a un manque de modération dans la manière d'exprimer ses pensées,
suggérant une difficulté à gérer ses émotions.

    Projection de ressentiment personnel : Le choix des insultes
sexuelles peut révéler une projection de frustrations personnelles ou
des croyances dégradantes envers les autres. Ce type d'insulte, très
personnel et sexuellement connoté, est souvent utilisé pour tenter de
rabaisser l'autre d'une manière intense et intime.

En résumé, l'auteur de ce message semble être dans un état de colère
extrême, marqué par un mépris profond et une volonté de blesser
moralement et psychologiquement son interlocuteur. L'utilisation
d'insultes dégradantes et personnelles montre une impulsivité, un manque
de contrôle émotionnel et un probable ressentiment accumulé envers la
personne à qui ce message est adressé.
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Comment dis-tu ? Ah oui :
"Les grands esprits discutent des idées ; les esprits moyens discutent
des événements ; les petits esprits discutent des gens." (Eleanor
Roosevelt)

Toujours à côté de tes pompes, M. Hamery.

x-post et fu2 frh
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Michel Vauquois - <http://michelvauquois.fr>
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