Re: Un avis

Le très gentil Luciole135 a présenté l'énoncé suivant :

Ce n'est pas la source de cette info, mais je ne résiste pas au plaisir de donner une info contraire à votre foi reprise par les faux-chekers de votre bible : Libé.

1. C'est ancien (09/21), ce pourquoi nous avons eu le temps d'assimiler les données issues des études dont il est question dans cet article.
2. Que dit-elle que nous ne sachions pas : rien (puisque c'est ancien).
3. Répétons toutefois :
a - Le *débat* porte surtout sur les *jeunes*, la gravité du COVID augmentant avec l'âge.
b - La *vaccination majore* très significativement le risque de myocardite, mais son *incidence reste très basse* à l'échelle d'une population (65 pour un million pour les jeunes de sexe masculin, et 9/1 000 000 chez les filles) .
c - Les formes *graves sont rares* (mais des cas mortels ont été décrits).
d - A l'époque, on disait : le risque de myocardite lié à la vaccination est moindre que celui lié à la maladie.
e - Depuis les données qui sortent sont contradictoires.
f - Pour les sujets jeunes, on *suppose* toutefois que le risque d'être vacciné est *moindre* que de ne pas l'être, car la maladie peut tuer du fait de complications autres : "Ainsi, dans sa publication de début juillet, les CDC notaient que pour chaque *million* de garçons de 12 à 17 ans vaccinés, la *soixantaine* de cas de myocardites post-vaccinale devait être mise en regard avec les hospitalisations, passages en réanimation et décès statistiquement évités".
g - Mais en l'absence de certitude, *certains* pédiatres *déconseillent* la vaccination (ici, j'avais communiqué un article où les pédiatres français recommandaient d'être prudent).
Finalement, si les antivax étaient moins obtus, on pourrait presque s'entendre sur le fait qu'il faut vacciner tous les adultes et jouer la *prudence* pour les sujets jeunes, surtout ceux de sexe *masculin*.