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Le 06/07/2024 à 14:18, Olivier@ a écrit :Vous avez effacé l'ensemble du post précédent et vos commentaires totalement à côté de la plaque auxquels je répondais.Un modèle atmosphérique qui couple la charge de particules à la température de surface et aux changements dans le bilan radiatif terrestre a été utilisé.>
Aucun des quelques dizaines de modèles en question n'a été validé (empiriquement) pour ce genre de tâche (*). Les résultats de ces simulations informatiques sont des "preuves circulaires" : le modèle contient une "paramétrisation" qui définit la réaction supposée du système atmosphérique à un changement dans la concentration des particules et, miracle, le "modèle" produit le "changement" paramétré dans la boîte noire en question.
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La période de refroidissement des années 1945 à 1975 est, elle, bien visible dans les données de l'époque. Elle a donc bien existé, même si cela ne plaît pas au monsieur qui écrit dans le mensuel La Recherche. Ce n'est donc en aucun cas une grossièreté d'évoquer son existence.
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D'ailleurs, en quoi cela le gêne, le monsieur qui rédige les articles dans La Recherche que cette période ait existé, et pourquoi préférerait-il qu'elle n'eut jamais existé ?
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(*) La comparaison avec les observations montrent qu'aucun de ces modèles n'a été capable de reproduire les variations réelles des températures si ce n'est sur sa plage d'apprentissage (et encore). Et ne parlons pas de la couverture nuageuse ou de l'humidité.
Les données montrent une période de refroidissement. Les journaux et les> hpublications d'époque la confirment. Sttps://www.cjoint.com/data/NGglZ1EnAcg_HADCRUT-version1-tendances30ans.png ource : Climatic Research UnitMais ça fait une éternité qu'on en discute. Le problème n'est pas la constatation de ce phénomène passager, mais sa cause. Le papier de Nature répond à ces questions et je ne vois ici rien qui apporte un démenti.
https://ntrs.nasa.gov/citations/19750020489Les effets de l'augmentation des concentrations de particules atmosphériques sur la température moyenne de surface et sur les composantes du bilan radiatif terrestre sont étudiés. Un modèle atmosphérique qui couple la charge de particules à la température de surface et aux changements dans le bilan radiatif terrestre a été utilisé. Une détermination de la faisabilité de l'utilisation de satellites pour surveiller l'effet de l'augmentation des concentrations de particules atmosphériques est réalisée. Il a été constaté que : (1) un changement dans la charge de particules artificielles d'un facteur 4 est suffisant pour déclencher une période glaciaire ; (2) les variations des moyennes pondérées globales et hémisphériques de la température de surface, du flux radiant réfléchi et du flux radiant émis sont des fonctions non linéaires de la charge particulaire ; et (3) une sphère satellite noire répond aux exigences de sensibilité de mesure nocturne, mais pas à la sensibilité diurne requise. Un radiomètre sphérique non noir dont les propriétés optiques externes sont sensibles soit au flux radiant réfléchi, soit au flux radiant émis, répond aux exigences de sensibilité d'observation.
Source : NASA 1974
https://www.nytimes.com/1961/01/25/archives/winters-since-40-found-colder-in-studies-by-weather-bureau-data.html?amp=&scp=38&sq=colder+climate&st=pVous n'auriez pas un papier du Washington Post de 1843 ?
Source : NYTIMES 1961
L'opinion de Tartemuche ou de Tartemolle, même exprimé dans des revues prestigieuses ne peut pas changer le passé.Sauf qu'eux savent de quoi ils parlent et que malgré la grande diffusion de leur prose, vous n'avez trouvé aucun démenti sorti dans une revue depuis.
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