Re: Etude CNRS / ISC sur le climato-scepticisme ( & corrélation avec d'autres thèmes )

Après mûre réflexion, "Benoît L." a écrit :
...

Extrait : « […] cette dernière communauté ne nie pas l’origine anthropique du
changement climatique, mais pense par exemple que le nucléaire est une
solution miracle et unique en oubliant le reste des leviers pour la
transition écologique, comme la justice sociale. »
>
J’ai un pb : Qu’est-ce-que la justice sociale a avoir là-dedans ? Que
tout le monde puisse être chauffé et faire la cuisine est un problème
anti-social ?

Les fonctionnaires sont majoraitairement à gauche, au CNRS probalement comme partout. Et la gauche ne peut s'empêcher de mettre de la morale partout, elle s'estime en effet en être sa "conceptualisatrice", sa garante et en avoir le monopole.
Donner ses leçons de morale aux pourris de tous les autres courants de pensée et dicter la conduite à suivre du haut de leur posture de référents universels du camp des bons, fait partie de sa mission.
Il suffit d'écouter France-Info pour se faire une idée de la propagande écologiste de ces nouveaux croisés.
J'aime bien le "en oubliant le reste des leviers pour la transition écologique, comme la justice sociale", alors que l'idéologie de "la transition écologique" est la première à oublier tous les autres aspects de l'homme et de la société, au nom de l'écologie, y compris la justice sociale. Ils sont en pleine projection.
Quand les scientifiques se mêlent de politique, le pire est à craindre, le même qu'on a quand les politiques instrumentalisent la science. Avec le GIEC le doigt était déjà dans l'engrenage.
Car aujourd'hui c'est non seulement la morale qui est revendiquée, comme au temps des curés, mais en plus la raison, celle de la science dont la seule interprétation au service de l'idéologie totalitaire qu'est devenu l'écologisme, serait la bonne.