Les modèles du GIEC sont faux : il n'ont jamais été validés par des données expérimentales

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Sujet : Les modèles du GIEC sont faux : il n'ont jamais été validés par des données expérimentales
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (PaulAubrin)
Groupes : fr.soc.environnement
Date : 02. Apr 2023, 09:52:36
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12e Conférence internationale EIKE sur le climat et l'énergie (IKEK-12) les 23 et 24 novembre 2018 à Aschheim/Munich. Prof. (ém.) Dr Ir. Henri A. Masson, Université d'Anvers, Belgique.
https://www.youtube.com/watch?v=dwfyT38ZVag
Vidéo de 47 minutes.
L'orateur défend la thèse selon laquelle les modèles du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) sont faux dès le départ ; ils n'ont jamais été validés par des données expérimentales, possèdent des divergences entre la simulation et les données et ne réduisent pas les différences entre les différentes simulations, ce qui conduit à une "coquille de spaghetti" des projections du GIEC, comme le fait remarquer Masson avec ironie.
Dans la première partie de la présentation, il est argumenté que le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat a mal agi depuis le début effectif de ses travaux. En effet, tous les effets non radiatifs susceptibles d'influencer le climat dans une certaine mesure sont qualifiés dans ses modèles de "contraignants" ou de "force obligatoire", ce qui correspond mathématiquement à des rétroactions linéaires et immédiates. Il est démontré que ces hypothèses ne sont pas applicables au climat et que cela a des conséquences dramatiques, comme la modulation de l'amplitude des données climatiques cycliques. Certaines bifurcations sont également observées en fonction du temps, ce qui a pour effet de diviser une forte composante périodique en (sous-)harmoniques, ce qui est une voie habituelle vers le chaos. "Chaos" est utilisé ici dans le sens mathématique du terme : Un système qui est hypersensible aux conditions initiales et qui présente donc un comportement non prévisible à long terme.
Pour comparer les données de température provenant de différents endroits du monde, le GIEC utilise le concept d'anomalie globale de température. Cette approche part du principe que la température a été constante sur une période de 30 ans et que tout effet de la VAG (réchauffement global anthropique) est mesuré par "l'erreur" par rapport à cette moyenne. Les anomalies sont ensuite moyennées dans l'espace pour obtenir le chiffre global (ce qui semble extrêmement bizarre puisque la température est une variable intensive en thermodynamique ; cela signifie qu'une température moyenne globale ou son anomalie n'a aucune signification physique). Mathématiquement, le problème réside dans le fait que les données climatiques ont des composantes polycycliques. Masson rappelle les données de température réelles et montre que dans ce cas, la tendance de l'"erreur" (appelée anomalie) dépend fortement de l'heure de départ et du moment, ainsi que de la longueur de la fenêtre de temps considérée. Il en va de même pour les lignes de tendance linéaires tracées à travers les données d'anomalies globales, et il n'est donc pas possible de tirer des conclusions à partir de ces lignes de tendance.
Dans une deuxième partie, les détails de la modélisation du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat sont abordés. Le GIEC postule un équilibre local dans un grand nombre de cellules locales réparties horizontalement et verticalement et utilise les équations de Navier-Stokes pour décrire la répartition de la chaleur et des matériaux d'une cellule à l'autre. L'intégration de ces équations différentielles non linéaires se fait à l'aide d'un algorithme de Runge-Kutta. Malheureusement, la combinaison des équations de Navier-Stokes avec un algorithme de Runge-Kutta présente elle-même un comportement chaotique, ce qui rend toute reproductibilité pratiquement impossible. Masson rappelle en outre qu'il faut d'abord comprendre la structure d'un système complexe avant d'aborder sa dynamique. Il s'agit là d'une sagesse élémentaire négligée par le GIEC, qui a tenté de réduire toute la complexité du système climatique à une simple somme de forces contraignantes, comme nous l'avons déjà mentionné. Une analyse structurelle fondamentale du système climatique montre que le CO2 ne peut pas être un moteur du changement climatique, mais que les rayons cosmiques, les météorites et les forces planétaires, d'origine gravitationnelle et électromagnétique, sont les véritables moteurs. L'analyse montre également l'importance des nuages (dont la nucléation est liée à la présence d'aérosols et de rayons cosmiques) et de l'interface entre l'océan et l'atmosphère, qui servent respectivement de protection ou de plafond pour l'énergie solaire incidente et d'important point de redistribution de la chaleur et de la masse dans le système.

Date Sujet#  Auteur
2 Apr 23 * Les modèles du GIEC sont faux : il n'ont jamais été validés par des données expérimentales2PaulAubrin
2 Apr 23 `- Re: Les modèles du GIEC sont faux : il n'ont jamais été validés par des données expérimentales1PaulAubrin

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