Re: Les bactéries « mangeuses de chair » pourraient envahir toute la côte est des États-Unis avec le réchauffement climatique

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Sujet : Re: Les bactéries « mangeuses de chair » pourraient envahir toute la côte est des États-Unis avec le réchauffement climatique
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (PaulAubrin)
Groupes : fr.soc.environnement
Date : 05. Apr 2023, 08:00:09
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Le 05/04/2023 à 01:35, Se_jam a écrit :
NB : Pourquoi Greta Thunberg dit-elle "je veux que vous paniquiez..." ?
Réponse : parce que les gens en état de panique obéissent plus
facilement à ceux qui veulent les contrôler.
Sans l'obéissance et la soumission, il n'y a pas de société, ça n'existe pas et ça n'a jamais existé, pourquoi ?
Greta Thunberg, ayant séché les cours, manque totalement des bases qui lui permettraient de vérifier que l'endoctrinement qu'elle a reçu est très largement erroné. D'autres personnes qui ont subi le même lavage de cerveau qu'elle ont fini par voir que la réalité ne collait pas aux lubies qu'on leur avait inculqué.
Exemple :
En tant qu’expert en énergie invité par le Congrès à fournir un témoignage objectif, et invité par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) à être expert examinateur de son prochain rapport d’évaluation, je me sens une obligation de demander des excuses pour la façon dont nous les écologistes avons trompé le public.
Voici quelques faits que peu de gens savent :
     Les humains ne sont pas à la cause d’une « sixième extinction de masse » ;
     L’Amazonie n’est pas « le poumon du monde » ;
     Le changement climatique n’aggrave pas les catastrophes naturelles ;
     Les incendies ont diminué de 25 % dans le monde depuis 2003 ;
     La superficie des terres que nous utilisons pour la viande (l’élevage est la plus grande utilisatrice de terres) a diminué d’une superficie presque équivalente à celle de l’Alaska ;
     Ce sont l’accumulation de bois et la proximité des habitations des forêts, et non le changement climatique, qui expliquent pourquoi il y a davantage d’incendies et de plus dangereux, en Australie et en Californie ;
     Les émissions de carbone diminuent dans les pays riches depuis des décennies et ont atteint un pic en Grande-Bretagne, en Allemagne et en France au milieu des années 1970 ;
     En s’adaptant à la vie en dessous du niveau de la mer, les Pays-Bas sont devenus plus riches et non pas plus pauvres ;
     Nous produisons 25 % de nourriture en plus de ce dont nous avons besoin et les excédents alimentaires continueront à augmenter à mesure que le monde deviendra plus chaud ;
     La perte d’habitat et l’abattage direct d’animaux sauvages sont des menaces plus grandes pour les espèces que le changement climatique ;
     Le bois est bien plus dangereux pour les gens et la faune que les combustibles fossiles ;
     La prévention des futures pandémies nécessite plus d’agriculture « industrielle » et non pas l’inverse.
Je sais que les faits ci-dessus paraîtront comme du « négationnisme climatique » à beaucoup de gens. Mais cela montre simplement la puissance de l’alarmisme climatique.
En réalité, les faits ci-dessus proviennent des meilleures études scientifiques disponibles, y compris celles conduites ou acceptées par le GIEC, la FAO  (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture ), l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et d’autres organismes scientifiques de premier plan.
Certaines personnes en lisant ceci imagineront que je suis une sorte d’anti-environnementaliste de droite. Je ne le suis pas. À 17 ans, j’ai vécu au Nicaragua pour montrer ma solidarité avec la révolution socialiste sandiniste. À 23 ans, j’ai recueilli des fonds destinés à des coopératives de femmes guatémaltèques. Dans les 1ères années de ma vingtaine, j’ai vécu dans la semi-Amazonie pour y faire des recherches avec de petits agriculteurs luttant contre l’invasion de leurs terres. À 26 ans, j’ai contribué à faire connaître les mauvaises conditions de travail dans les usines Nike en Asie.
Je suis devenu un écologiste à 16 ans quand j’ai lancé une collecte de fonds pour Rainforest Action Network. À 27 ans, j’ai aidé à sauver les derniers séquoias antiques non protégés en Californie. Dans ma trentaine, je me suis fait l’avocat des énergies renouvelables et contribué avec succès à persuader l’administration Obama d’investir 90 milliards de dollars dans celles-ci. Au cours des dernières années, j’ai aidé à éviter le remplacement de centrales nucléaires par des centrales thermiques, évitant ainsi une forte augmentation des émissions.
Jusqu’à l’année dernière, j’ai évité de m’exprimer contre la peur climatique. C’est en partie parce que j’étais embarrassé. Après tout, je suis aussi coupable d’alarmisme que n’importe quel autre écologiste. Pendant des années, j’ai parlé du changement climatique comme d’une menace « existentielle » pour la civilisation humaine, et je le qualifiant de « crise ».

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4 Apr 23 * Re: Les bactéries « mangeuses de chair » pourraient envahir toute la côte est des États-Unis avec le réchauffement climatique3PaulAubrin
5 Apr 23 `* Re: Les bactéries « mangeuses de chair » pourraient envahir toute la côte est des États-Unis avec le réchauffement climatique2PaulAubrin
5 Apr 23  `- Re: Les bactéries « mangeuses de chair » pourraient envahir toute la côte est des États-Unis avec le réchauffement climatique1PaulAubrin

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