Sujet : Re: Nicola Scafetta de l'American Physical Society : "Pourquoi les modélisations climatiques échouent ?"
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (PaulAubrin)
Groupes : fr.soc.environnementDate : 17. Apr 2023, 08:23:36
Autres entêtes
Organisation : A noiseless patient Spider
Message-ID : <u1iol8$2ub55$1@dont-email.me>
References : 1 2 3 4 5 6 7 8
User-Agent : Mozilla/5.0 (X11; Linux x86_64; rv:102.0) Gecko/20100101 Thunderbird/102.10.0
Le 16/04/2023 à 21:44, maixxx07 a écrit :
J'avais donné une piste pour valider les mesures de l'effet de serre dû au CO2
anthropique mais c'est un peu lourd et que je sache il est plus facile de nier
ou affirmer des modèles que faire de coûteuses mesures précises
d'absorption/réémission de l'énergie solaire en divers lieux et altitudes en
rapport avec les taux de CO2.
Une publication de Richard Lindzen, il y a plusieurs années, a analysé les mesures des satellites CERES. En dépit du bruit élevé, le signal extrait montrait une rétroaction négative du système climatique contre une rétroaction fortement positive pour les "modèles". Ce qui met la nécessairement la "sensibilité climatique" à moins de 1°C (borne supérieure).
On sait aussi calculer avec précision l'absorption du CO2 dans un ciel clair d'une colonne d'air.
Utilisez "looking up" et altitude 0 km, vous verrez que l'effet du CO2 sur la quantité d'IR bloqué par l'augmentation du CO2. Estimez ensuite la température apparente du ciel (source froide) et vous verrez que l'effet radiatif ne dépasse pas deux ou trois dixièmes de degrés (accessoirement, au niveau du sol, la convection et l'évaporation comptent pour les 2/3 du flux sortant d'énergie).
http://climatemodels.uchicago.edu/modtran/NB : Sauf précautions assez complexe, les systèmes à rétroaction positive sont instables. Excepté les oscillateurs, ils sont aussi courants que les cercueils à deux places.