Re: La Chine confrontée à une recrudescence des tempêtes de sable

Le 22/04/2023 à 23:15, Perplexity a écrit :

En ce qui concerne la climatologie du GIEC,

Ce n'est pas le GIEC qui fait foi en sciences, ce sont les mesures (les observations). Pour les climastrologues, tous les événements météo (et leur contraire) sont "expliqués" par le réchauffement climatique. Il ne pleut pas assez en un lieu ? : c'est le réchauffement climatique. Il pleut trop ? le réchauffement climatique, vous dis-je ; il pleut normalement ? le réchauffement climatique encore. La climastrologie des médias, est pas une science, c'est une foi aveugle dans le GIEC (Greta Thunberge : il faut CROIRE la science !).

il est important de noter que la science du climat est basée sur des preuves empiriques et des observations, et que les conclusions sont soumises à un examen minutieux par des pairs. Les rapports du GIEC sont le résultat d’un processus rigoureux d’examen par les pairs, qui implique des milliers de scientifiques du monde entier. Les conclusions du GIEC sont basées sur des preuves solides et sont étayées par des données empiriques.

La climatologie est une sous-spécialité de la géophysique et de la géographie. Pour ses données directes, elle fait appel essentiellement à des sciences majeures comme la thermodynamique ou la mécanique des fluides. Pour les données indirectes (proxies), elle fait appel à un grand nombre de techniques scientifiques utilisées en histoire et en archéologie comme la datation isotopique. Comme souvent dans les sciences modernes, les chercheurs sont hyper-spécialisés dans un domaine très étroit, ce qui ne les empêche pas, ni plus ni moins que les scientifiques des autres domaines, d'avoir une vision d'ensemble de la climatologie.
La climatologie, contrairement aux braiment de certains politicards, n'est pas une "science aboutie". Exemple : le concept principal, la sensibilité climatique, n'est pas déterminé à 200% près et les estimations de sa valeur n'ont pas progressé depuis 60 ans ! C'est un peu comme si en électricité, la charge de l'électron était connue à 200% près.