Re: « Nous poussons la planète vers un avenir climatique où seule une partie de sa surface sera habitable »

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Sujet : Re: « Nous poussons la planète vers un avenir climatique où seule une partie de sa surface sera habitable »
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (PaulAubrin)
Groupes : fr.soc.environnement
Date : 12. Jun 2023, 21:57:47
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Le 12/06/2023 à 20:55, Canta Galet a écrit :
A noter qu'au contraire de CLINTEL, créé par des employés des sociétés pétrolières et financée par elles, les deux coprésidents ne sont ni urologue, ni garçon de café ni vétérinaire pour signer une pétition sur des travaux auxquels ils n'ont bien sûr pas participé.
Clintel a été fondée par un professeur de géophysique et un journaliste scientifique.
La climatologie est loin d'être une science indépendante. Les chercheurs en climatologies proviennent de disciplines scientifiques extrêmement différentes. Ils sont le plus souvent extrêmement spécialisés, ce qui fait que dans les autre sous-domaines de la climatologie, leur avis ne vaut pas mieux que celui d'un scientifique beaucoup plus généraliste.
Une mention particulière est à faire pour les experts en modèles climatiques. Les modèles climatiques sont bâtis sur le même principe que les modèles météo, mais avec une maille et un pas de temps beaucoup plus grand. En dépit d'une maille plus serrée, les prédictions des modèles météo se brouillent en quelques jours. C'est tout à fait normal : les lois de la mécanique des fluides montrent que les calculs itérés faits par les "modèles" climatiques divergent irrémédiablement de la réalité en quelques jours. Sur des périodes "climatiques" (30 ou 40 ans) ces modèles climatiques ont été prouvés incapable de reproduire les évolutions du climat. En particulier, ils ne prédisent pas correctement les oscillations océaniques qui jouent pourtant un rôle majeur dans les moussons, les vents alizés, et d'une manière tout le climat de côte du Chili à celle de l'Afrique Australe.
Il se trouve que la preuve de l'argument essentiel du GIEC (l'attribution) repose sur ces modèles qui ont été prouvés inaptes pour les prédictions climatiques à long terme. L'évaluation des conséquences potentielles de l'évolution du climat reposent à son tour sur des modèles économiques, encore plus imprécis, qui reposent sur les prédictions fausses des modèles climatiques.
Dans la pratique, on sait, par de multiples lignes d'évidence, que les 9000 premières années de l'holocène ont été pratiquement tout le temps et partout plus chaude que la période actuelle. Notre période moderne n'est d'ailleurs qu'un léger réchauffement après la période très froide appelée par les historiens le petit âge glaciaire qui a été une des périodes les plus misérables pour l'humanité.

Date Sujet#  Auteur
12 Jun 23 * « Nous poussons la planète vers un avenir climatique où seule une partie de sa surface sera habitable »4Canta Galet
12 Jun 23 +- Re: « Nous poussons la planète vers un avenir climatique où seule une partie de sa surface sera habitable »1PaulAubrin
13 Jun 23 `* Re: « Nous poussons la planète vers un avenir climatique où seule une partie de sa surface sera habitable »2roaringriri
13 Jun 23  `- Re: « Nous poussons la planète vers un avenir climatique où seule une partie de sa surface sera habitable »1PaulAubrin

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