Le réchauffement anthropique repose sur les modèles climatiques...

Et, selon les climatologues, les modèles reposent sur la physique.
Excepté qu'ils n'appliquent pas les lois de conservation de la matière ou de l'énergie, ni même de la quantité de vapeur d'eau (le principal "gaz à effet de serre").
"Voilà que je viens de tomber sur une publication de 2021 (Irving et al., A Mass and Energy Conservation Analysis of Drift in the CMIP6 Ensemble) qui décrit des problèmes significatifs dans les derniers modèles (CMIP5 et CMIP6) relatifs non seulement à la conservation de l'énergie dans les océans, mais à la couche supérieure de l'atmosphère (TOA), qui donc affecte les vitesses de réchauffement et même l'équilibre de la vapeur d'eau de l'atmosphère (qui représente la plus grosse composante de l'effet de serre global."
https://www.drroyspencer.com/2023/08/sitys-climate-models-do-not-conserve-mass-or-energy/
En fait, les modèles climatiques sont comme les modèles météo, ils résolvent numériquement les équations de la mécanique des fluides dans l'atmosphère, ce qui fait que inexorablement ils divergent de la réalité et aboutissent à des états finaux complètement absurdes
Pour les contenir dans des bornes plausibles, les modélisateurs les truffent de petits mécanismes appelés paramétrisations qui les empêche de partir dans le mur. Malheureusement, ces paramétrisations sont réglées pour obtenir le résultat que le modélisateur souhaite et non l'évolution que le système aura dans le futur (que nul ne peut déterminer à plus de quelques dizaines de jours).
Et voilà ce qui fait que la science climatique n'est pas bien établie : ses hypothèses ne sont pas validées empiriquement.
En fait, ils sont assez défectueux pour que l'on puisse considérer que leur prédictions "climatiques" n'ont aucune valeur, et les prévisions économiques que l'on peut tirer de ces prédictions physiques encore moins.
Après l'échauffement récent des esprits, voilà une petite occasion de rafraîchir les idées de nos climatistes militants.
NB : Je sais, le  Dr. Roy Spencer, bien que réchauffiste modéré, est très méchant. Il refuse de se joindre au camp du bien pour Sauver La Planète. C'est comme ça, pour lui, la fin ne justifie pas les moyens.