Sujet : Re: Les projections des climatologues dans les rapports du Giec se sont vérifiées
De : paul.aubrin (at) *nospam* invalid.org (Paul Aubrin)
Groupes : fr.soc.environnementDate : 10. Dec 2023, 23:11:49
Autres entêtes
Organisation : Eweka Internet Services
Message-ID : <pQpdN.187852$bHc9.54593@fx15.ams4>
References : 1 2 3 4
User-Agent : Mozilla Thunderbird
Le 10/12/2023 à 17:05, Duzz' a écrit :
Le 10/12/2023 à 16:20, Paul Aubrin a écrit :
Le 10/12/2023 à 12:30, Valcarus a écrit :
>
Où est l'ensemble des projections faites il y a 40 ans ?
>
2018 : 102 modèles, observations
>
https://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/ICCC13-DC-Spencer-25-July-2019-Global-LT-scaled.jpg
Observations à fin novembre *2023* :
<https://climatereanalyzer.org/clim/t2_daily/?dm_id=world>
L'anomalie constatée est pile-poil sur l'anomalie moyenne prévue pour *2025*.
John Christy a malencontreusement omis de mettre son graphique à jour depuis 2018.
Vous prouvez là que vous ne comprenez pas la méthode scientifique.
En fait, John Christy a prouvé, définitivement et sans appel, que les dizaines de modèles dont on voit les 108 exécutions sur le graphiques étaient basés sur des hypothèses (des paramétrisations, des réglages) erronés puisque leur prédictions sur 40 ans divergent significativement de ce que l'on a réellement observé dans la vraie réalité.
La preuve réside dans ce qu'on appelle "proposition contraposée" en mathématiques ( A => B ) <=> non-B => non-A.
Si les hypothèses (A) à la base des modèles climatiques impliquent que le réchauffement climatique doit dépasser une certaine valeur (proposition B, disons 0,3 °C/décennie). Or, sur une période de temps significative (1979-2014) on observe non-B, donc les hypothèses à la base des modèles sont fausses. Cette réfutation est définitivement acquise.
Et même si sporadiquement on observe B==vrai par la suite, cela ne prouve pas que A est vrai, puisque B==vrai peut résulter d'une autre cause, par exemple un El Niño qui sort du commun (1998, 2016) ou une éruption volcanique qui injecte de grandes quantités d'eau dans la stratosphère... mais aussi, probablement, de bien d'autres causes.
Un coup de dé jamais n'abolira le hasard.