Un désastre écologiquement assisté: La "mobilité électrique".

Une nouvelle fois, l'écologisme de conseil d'administration, dicte sa loi aux imbéciles, et propose une solution business compatible, qui aggrave le problème qu'elle est sensée résoudre.
Après le photovoltaïque imbécile, et l'éolien rapide, un nouveau désastre se développe: La "mobilité électrique".
Avec déjà 20% du parc automobile désormais électrifié, le désastre est déjà là.
Le réseau électrique français, largement nucléarisé, a été conçu pour un pays industriel.
Il n'était pas encore terminé, que l'industrie déménageait en extrême orient, pour y trouver une main d'œuvre corvéable à merci.
Alors les gangs nucléocrates et l'armée, pour rentabiliser leur parc, ont organisé un formidable gaspillage énergétique, en faisant la promotion du chauffage électrique des particuliers.
Alors que d'autres pays, à la même époque, proscrivaient le chauffage électrique et au gazoil, dans les constructions neuves, la France a inventé les passoires thermiques chauffées.
Résultat 60 à 70% de notre consommation d'énergie, sert à nous chauffer ou à nous refroidir, alors que la chaleur ou le froid, sont surabondants et gratuits, à contre saison, et que l'on sait parfaitement les stocker.
Aujourd'hui, les possesseurs de voitures ou vélos électriques, chargent leurs engins la nuit, et cette période qui était creuse pour EDF devient une période critique.
Edf doit raccourcir ou éviter, les périodes d'arrêt et d'entretien de ses centrales l'hiver, et doit remettre en service, les centrales thermiques, pour fournir cette nouvelle demande.
On en est même, à imposer la fin de l'éclairage nocturne, pour gratter de l'énergie disponible, et bien sur avec l'hypocrisie écologiste coutumière, au nom de la protection des insectes et des chauve souris, qui il faut le rappeler, à nos spécialistes de la nature, ne sont pas là l'hiver.
Au final, toutes pertes de rendement cumulées, les véhicules électrifiés, produisent deux plus de CO2 pour se déplacer que leur homologues thermiques.
Sans parler bien entendu de leur coût absolument délirant, et subventionné, elles coûtent deux à trois fois le prix d'un véhicule thermique, tout en ayant des coûts de fabrication deux à trois fois inférieurs.
Et il restera le sort des batteries, qui vont se retrouver sous forme de montagnes de déchets rapidement et pour lesquelles absolument rien de sérieux et de financé, n'est prévu.