Anarchasis Cloots : «La république des droits de l’homme n’est ni théiste ni athée : elle est nihiliste»

Anacharsis Cloots est un penseur allemand qui après avoir rejoint la révolution française finit sur la guillotine en 1794, au comble de la fureur nihiliste révolutionnaire française. Anacharsis Cloots est connu pour avoir rédigé en 1792 un ouvrage mondialiste intitulé La république universelle, en téléchargement libre sur Gallica, où il explique que la révolution française n'est que le commencement d'un mouvement qui doit embraser la planète et mener à un gouvernement mondial déchristianisé, financé par l'argent des Juifs (c'est lui qui le dit) et dont les élites ne seront plus jamais chrétiennes. Cloots est également célèbre pour la citation qui sert de titre à ce fil :
«La république des droits de l’homme n’est ni théiste ni athée : elle est nihiliste»
Au coeur du projet mondialiste il y a donc, selon Anacharsis Cloots, non pas le théisme ou l'athéisme, qui à son époque était encore très largement panthéiste, mais le nihilisme ou ce que nous appelons aujourd'hui l'athéisme nihiliste. Le panthéisme postule l'éternité, l'aséité (ou autosuffisance ontologique) et la divinité du monde ou cosmos et de tout ce qu'il contient. L'athéisme panthéiste postule l'éternité, la divinité et l'aséité du monde. L'athéisme nihiliste postule que le cosmos surgit du néant absolu, le monde n'a aucune cause, le cosmos n'a pas de source. Ce faisant l'athéisme nihiliste affirme que le néant est créateur ou encore que le néant est dieu.
C'est cet athée nihiliste qui a atteint aujourd'hui son paroxysme de folie, de destruction et de malfaisance, au point de dresser contre lui presque tous les pays non-occidentaux de la terre. La folie furieuse qui étreint le nihilisme athée commence à paniquer bien des athées nihilistes qui se rendent compte que leur religion mène ses fidèles à toujours plus de chaos, de violence, de destruction civilisationnelle, de folie furieuse, d'attentats, de guerres et de génocides. Comment sauver l'athéisme, se demandent-ils avec effarement ? La réponse est aussi simple que le destin de Nietzsche ou de l'URSS : il n'y a pas de salut pour ceux qui librement et volontairement on rejeté Jésus qui en hébreu se dit Ieschoua et signifie : Salut !
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Vonder la Hyène
Stupide poulaille
Deux qui la tiennent
Trois qui la raillent