Re: Histoire de cadrage

Le 09/07/2023 à 00:13, "Benoît L." a écrit :

Après mûre réflexion, le 8 juillet 2023 à 23:09, efji eu l'idée
d'écrire :
 

Le 08/07/2023 à 22:54, "Benoît L." a écrit :

J'ai encore beaucoup à apprendre

>
Oui en effet. Par exemple ne pas oublier d'indiquer le lien

 Tiens, il y en a qui sont intéressés par la photo. ;)
<https://fr.slideshare.net/CPierric/cadrage-et-composition-dune-image>
 De bons principes de base à connaître par cœur (dur pour moi), à
appliquer les yeux fermés ;) pour ensuite savoir, aux bons moments, les
contourner.
 

Dès la seconde diapo, j'ai failli abandonner car le commentaire de la photo de Cartier-Bresson n'a aucun sens :
"Voici un gros poisson, cossu et bedonnant... on imagine sans peine son teint coloré, qui devient cramoisi lorsque sa silhouette ingénue fait un effort... la figure héroïque du bonhomme paraît suspendue dans l'éther".
Etc..
On sent le photographe qui cherche à dépasser ses capacités intellectuelles, sans y parvenir le moins du monde.
Après, ça s'arrange mais on perçoit une nette différence dans les commentaires.
La plus grande partie de ceux-ci sont un plagiat pur et simple du livre cité à la fin, et une autre plus petite transcrit les élucubrations du rédacteur qui cherche à se rendre important.
Le plagiat est manifeste, le plagiaire n'a pas vu les nombreuses erreurs de la numérisation ou de la recopie du texte initial, qui le rendent parfois incompréhensible.
page 31 : "On voit que le tableau est partagé sur l'horizontal en trois tiers à peu près dégel surface."
Dégel surface ??
Les élucubrations personnelles sont également manifestes, émaillées de fautes d'orthographe énormes.
On comprend à la fin : il s'agit d'une présentation de photo-club, pompée sur un livre fort opportunément indisponible.
Que ce soit Benoît, dont on n'a jamais eu à critiquer les compositions, qui éprouve le besoin de communiquer cette présentation n'est pas le moindre des paradoxes.
Si quelqu'un ici maîtrise la composition, avec ses panos verticaux, entre autres, c'est bien lui.
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J'ai beau faire, tout m'intéresse. (Paul Valéry)