Re: Problème d'AF avec un Canon 7D Mark II

Le 06/12/2023 à 12:22, efji a écrit :

Le 06/12/2023 à 11:16, Alf92 a écrit :

Hello,
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Pour que j'y jette un oeil, on m'a confié un Canon 7D Mark II + Sigma
18-250mm(f3.5-6.3) DC Macro OS HSM qui a un pb d'autofocus.
En focal maxi il ne trouve pas le focus, un petit coup de pouce sur la
bague de mise à point le débloque et il finit par trouver.
Le problème semble donc bien venir de l'objectif.
Une idée du problème ? C'est connu ? Comment le résoudre ?...
>
J'ai une parfaite confiance en mes mains mais peu d'expérience en
réflex numérique => tout conseil bienvenu !
Merci

 Je n'ai pas de réponse, mais une rapide recherche me laisse perplexe
quant à la santé mentale des marketeux : le 7D mark II est un APS-C
sorti en 2014, alors que les 5D, 5DS, 5D mark IV, 6D mark II sont tous
des FF sortis ultérieurement, dans l'ordre chronologique.
 

Je ne vois pas bien le problème de santé mentale des marketeux.
Certains photographes ne jurent que par le plein format 24x36, le seul, le vrai, d'autres ne jurent que par l'APS-C, le seul, le vrai, d'autres encore ne jurent que par le µ4/3, le seul, le vrai.
Par ailleurs, certains ne jurent que par le système prisme-miroir mobile et autofocus par détection de phase et d'autres par le viseur électronique à détection de contraste.
Par ailleurs encore, certains trimbalent un flopée d'objectifs, seuls capables d'exprimer pleinement leur talent quand d'autres se contentent d'un ultra-zoom.
Enfin, il se trouve des amateurs fortunés pour lesquels un Leica à capteur noir et blanc et objectif fixe est le seul appareil digne de se ranger dans la boîte à gants de leur Ferrari.
Enfin (bis) on voit de plus en plus de vieux amateurs ressortir leur reflex argentique à la qualité insurpassable (voir les photos de Paul Aubrin pour s'en convaincre).
Enfin (bis bis) d'autres ne jurent plus que par leur smarphone qu'ils changent constamment pour bien voir ce que donnent les feuilles d'un arbre par une nuit noire.
La mission d'un marketeux étant de satisfaire tous les désirs, même les plus ineptes, de la clientèle et d'élargir celle-ci aux dépens de la concurrence, donc d'adapter les produits à cette analyse intersectionnelle où chaque photographe doit pouvoir se ranger dans une case dans laquelle, à la limite, il sera le seul occupant, il me semble que cette accumulation de solutions diverses et variées est, non pas une marque de dérangement psychologique mais en réalité, un bienfait.