Re: Nous vaincrons !

Le 24/02/2024 à 13:14, Lebref a écrit :

Trimble :
 

roaringriri :
 

On ne peut pas à la fois être un larbin et un maître. "Classe moyenne",
c'est juste une illusion.

 Faux.  On peut être un larbin des forts et un maître des faibles.  De plus, la classe moyenne, même s'il y a des "collabos", ce sont
surtout des larbins qui s'en sont mieux tirés que les autres, soit grâce
à un concours de circonstances, soit par leur ingéniosité et/ou
détermination.  Mais quand les larbins ultimes et le lumpenprolétariat trouvent aussi un
concours de circonstances et un créneau qui leur permettent de se
révolter, ils peuvent parfois s'en prendre aux arrogants, mais ils
seront sans pitié pour cette classe moyenne qu'ils soupçonneront
d'accointances avec lesdits arrogants, mais qui aura surtout mis en
lumière leur incapacité à s'en sortir, ce qui rend ces larbins souvent
beaucoup plus féroces envers des gens qui sont pourtant davantage des
compagnons d'infortune que leurs esclavagistes.

 L'être humain éprouve une réelle jouissance à dominer, exploiter, torturer,
insulter, humilier, voire exterminer ; même s'il le nie farouchement.

L'erreur est dans le mot "jouissance", chez le sous fifre probablement, chez le maître, non.

Il trouve toujours d'obscures justifications idéologiques ou religieuses,
historiques ou civilisationnelles à ses actes les plus violents.

Oui, "toujours" ! Pourquoi "toujours" ? Comme dans deux plus deux font "toujours" quatre ?
 

La revanche des dominés - bourgeoisie versus noblesse monarchique,
prolétariat versus bourgeoisie - prend des allures de bacchanales festives
où le sang qui coule cimente la revanche des opprimés et démarre un
nouveau cycle d'oppression-répression.

Ces cycles sont connus des "intellectuels" depuis ? ? ?5000 ans ! Jusqu'ici, personne n'a pu tenir au sommet plus de deux ou trois générations au mieux. Dieu n'a pas voulu que le talent soit héréditaire :-).

 Ad nauseam.

La nausée est la réponse du névrosé, le déni, est la psychose, c'est un, voire le, curseur fondamental de la personalité, entre les deux, il y a l'acceptation des réalités quelles qu'elles soient.
Une phrase connue sur ce sujet : “Le névrosé bâtit des châteaux en Espagne; le psychotique croit y habiter; le psychanalyste récolte les loyers.”
― Jules Vallès (1832-1885, 53 ans)
Et ça le bâtisseur opiniâtre, ça l'énerffe, ça le degoûte.
Psychose, névrose, Ventôse, Pluviôse.
--
Sejam
https://youtu.be/6ELDbK9TyR8?t=195