Re: Sondages européennes 2024 : avant le discours d’Emmanuel Macron, Valérie Hayer au plus bas

K. a formulé la demande :

Le 28/04/2024 à 15:29, Trimble a écrit :

K. avait écrit le 28/04/2024 :

Le 27/04/2024 à 23:21, Trimble a écrit :

K. avait écrit le 27/04/2024 :

Le 27/04/2024 à 18:43, Trimble a écrit :

K. avait écrit le 26/04/2024 :

Non, pas possible. Elle est à 18%. Je ne pense pas qu'elle descende beaucoup plus bas.

 D'autant que le vote ayant lieu début juin, on ne peut même pas compter sur une canicule estivale pour faire disparaître une grande partie des électeurs de Macron.

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Je reconnais bien là votre esprit charitable.

 Pas de charité ni de pardon pour les fascistes qui ont reconduit Macron au pouvoir et continuent à voter pour lui.

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Vox populi, vox Dei.

 Hors-sujet.

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Non, accepter le résultat des urnes, c'est important en démocratie.
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Et traiter ses adversaires de "fascistes" n'est pas très original.

 C'est seulement factuel.
 Ceux qui ont accepté la stigmatisation et l'ostracisme d'une partie de leur concitoyens sur des bases de soumission et qui étaient même prêts à les emprisonner voire à les laisser mourir sont des fascistes. Point.

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À la limite, on aurait pu qualifier de "fascistes" ceux qui voulaient rendre le vaccin obligatoire pour l'ensemble de la population. C'était la position du PS par exemple, mais cela n'a jamais été celle du gouvernement (ni la mienne, au demeurant).

Il a été obligatoire pour les soignants, les militaires, les pompiers. Que ce ne soit pas toute la population ne rentre pas en ligne de compte. Pour les autres, il a restreint les libertés de manière exagérée - pour ne pas dire grotesque.
Si on suit votre raisonnement, par exemple, on peut dire que l'Allemagne nazi n'a jamais déporté toute sa population mais uniquement les juifs, les communistes, les tziganes et les opposants. Et que la dictature n'a finalement affecté que les rares qui se sont élevés contre le Führer qui ont dû assumer librement les conséquences de leur choix en finissant dans le cendrier.

Le gouvernement a été plutôt cool dans cette crise, cherchant constamment l'équilibre entre le respect des libertés et la nécessité de protéger les gens.

Il n'y a pas de nécessité à protéger contre un microbe pas très virulent. Pas en imposant un vaccin à une catégorie de personnes.

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Après, je comprends que vous ayez du mal avec cette qualification qui vous touche particulièrement.

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Vos accusations, comme bien souvent, sont exagérées - pour ne pas dire grotesques - et je ne me sens pas concerné.

Vous devriez, pourtant.
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Trimble