Sujet : Re: Le covid déjà présent en Italie en septembre 2019 ?
De : schaefer (at) *nospam* alphanet.ch (Marc SCHAEFER)
Groupes : fr.bio.medecine fr.sci.biologieDate : 20. Nov 2020, 18:30:14
Autres entêtes
Organisation : Posted through ALPHANET (https://news.alphanet.ch/)
Message-ID : <rp8qum$q85$1@shakotay.alphanet.ch>
References : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
User-Agent : tin/2.4.3-20181224 ("Glen Mhor") (UNIX) (Linux/4.19.0-10-amd64 (x86_64))
In fr.bio.medecine robby <
me@pla.net.invalid> wrote:
J'aurais dis le contraire: ajouter une pression sanitaire, c'est aussi
ajouter une pression de selection(*), permettant a un variant capable de
passer outre de rafler la mise.
C'est juste, seuls les virus bien adaptés (p.ex. ceux qui ont une plus
longue chaîne de contamination, comme p.ex. la variante espagnole,
survivent).
Je ne retrouve plus l'article original, c'était peut-être plutôt CNN que
Le Guardian ...
Mais certes, avoir enormement d'exemplaires de virus c'est aussi
multiplier d'autant les proba de mutation d'un des exemplaires.
C'était un peu ça l'idée oui.
Il a ete constaté qu'améliorer les mesures d'hygienes "rendaient" les
souches courantes (i.e. les lignées gagnantes) moins virulentes en assez
peu de temps.
Excellente nouvelle.
Il y a l'autre exemple classique de la résistance aux antibiotiques.
Oui, ou quand on désinfecte trop (style en utilisant un produit qui tue
99.1% des bactéries pour son ménage plutôt qu'un simple détergent), on
risque de justement ne laisser que les bactéries les plus dangereuses?