La dérive de la climatologie a métastasé en une massive pseudo-science journalistique.

Voici ce que le prix Nobel de physique John Clauser a expliqué à une conférence dans une université coréenne :
La méthode scientifique est basée sur les observations bien faites et les expériences. Les bonnes observations prévalent toujours sur les théories purement spéculatives.
Le monde est littéralement submergé, saturé de pseudo-science, de mauvaise science, de désinformation scientifique, de désinformation. Là-dedans, le secrétaire général de l'ONU, le GIEC et son "ère de l'ébullition" sont une des pires sources de dangereuse désinformation.
Cette désinformation repose sur des "modèles climatiques" qui ne sont pas plausible, même de loin en tant qu'outils destinés à guider les politiques.
Ces modèles sont connus pour enfler considérablement l'effet des "gaz à effet de serre".
Il n'existe aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les catastrophes naturelles et il n'y a pas d'urgence climatique. Il n'y a pas lieu de paniquer ni de s'alarmer.
Mais l'inquiétude et la panique jouent un rôle vital pour mettre en avant le plan dit "net zéro".
Cette dérive politique de la climatologie a métastasé en une massive pseudo-science journalistique.