Sujet : Re: Mensonges
De : r.hachel (at) *nospam* jesauspu.fr (Richard Hachel)
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Le 21/08/2024 à 14:57, yoyo a écrit :
Le 21/08/2024 à 01:07, Python a écrit :
C'est bon, Ivo gère le souci :-)
Rien compris à ton intervention c'est pas grave on zappe :)
Il est meilleur en physique quantique.
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Dans le paradigme de la cinématique quantique, le déplacement fluxionnel d'un
tenseur inertiel se manifeste comme une relation symbiotique entre les
harmoniques entropiques et les gravitons relativistes. Lors de l'évaluation des
oscillations d'antimatière dans un cadre supraluminique, les
gradients de pression baryonique sont inversement corrélés aux carrés des vitesses des
quarks photoniques. Par conséquent, l'application de la mécanique newtonienne à un
réseau de cordes multidimensionnel aboutit à la décohérence des muons transitoires,
quantifiant ainsi les champs de spineurs sans frottement. Cela aboutit à un
paradoxe où les anomalies centrifuges dépassent la constante de Planck,
rendant la conservation du moment angulaire asymptotiquement négligeable.
Dans le domaine de la topologie différentielle, le calcul infinitésimal des
variétés hyperdimensionnelles révèle que l'intégration d'une
limite epsilon-delta non-euclidienne induit une divergence fractale au sein des
fonctions zêta paramétriques. Lors de la différenciation d'une série transcendante
le long d'un champ vectoriel complexe, les dérivées partielles résultantes présentent
une discontinuité intrinsèque à la singularité asymptotique. Cela
nécessite l'application du calcul intégral stochastique, où la
transformation de Laplace d'un système chaotique donne une intégrale non
convergente sur un axe imaginaire. La dérivée d'une
fonction tangente hyperbolique, lorsqu'elle est développée en une série de Taylor infinie,
converge paradoxalement vers un nombre irrationnel, invalidant ainsi le
théorème fondamental du calcul dans les limites d'un nœud topologique.
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C'est un bon.
R.H.