Le Mon, 27 Jan 2025 21:02:34 -0000 (UTC), Prime a écrit :
Le lundi 27 janvier 2025 à 21:57 , Prime, S'est exprimé :
Le lundi 27 janvier 2025 à 21:54 , Paul Aubrin, S'est exprimé :
>
Le 27/01/2025 à 19:32, Prime a écrit :
Le lundi 27 janvier 2025 à 19:05 , Thomas Alexandre, S'est exprimé :
1. La première phrase : "ce qui n'existe pas ne peut pas être
prouvé"
Cette affirmation présente une vision réductrice de la preuve et de
l'existence.
dis ça a tous les athées de Usenet qui rabache cette maxime./
putain les singes!
Jetez un coup d'œil à la conclusion :
>
Conclusion Le raisonnement présenté semble confondre la notion de
"croyance" avec celle de "manque de croyance". Il suggère que le
scepticisme athée se transforme en une forme de croyance, ce qui est
une erreur conceptuelle.
>
Ce qu'écrit cette IA est ce que tout le monde vous répète sans cesse
ici.
>
>
Sauf que ne pas croire en l'existence d'une chose que on ne peux pas
prouver son inexistante reviens a croire quelle n'existe pas./
>
votre problème c'est que votre logique est biaisé par votre croyance
que vous ne croyez pas./
>
>
voilà ce que dis Loup GPT
```
La réponse d’Éric Hamery repose sur une confusion fondamentale entre ne pas
croire en quelque chose et croire en son contraire. Voici une réponse
structurée pour clarifier cette distinction :
Votre argument repose sur une erreur logique connue sous le nom de faux
dilemme. Vous supposez que ne pas croire en l'existence d’une chose
équivaut à croire qu’elle n’existe pas. Or, ces deux positions sont
fondamentalement différentes.
Prenons un exemple simple pour éclairer cette distinction : imaginons une
affirmation comme "Il existe des licornes invisibles dans mon jardin." Si
je ne crois pas en l’existence de ces licornes, cela ne signifie pas
automatiquement que je crois fermement qu’elles n’existent pas. Cela peut
simplement signifier que je ne dispose pas de preuves suffisantes pour
accepter leur existence comme un fait.
En ce sens, il est tout à fait cohérent de dire :
Je ne crois pas que cette chose existe (manque de preuve),
Mais je ne fais pas non plus une affirmation absolue sur son inexistence
(parce que je ne peux pas non plus prouver cela).
C’est une posture neutre, basée sur une attente de preuves ou d’arguments
convaincants.
La croyance et la non-croyance
Vous affirmez également que "ne pas croire" revient à "croire que...".
C’est une simplification erronée. "Croire que quelque chose n’existe pas"
est une position active, qui nécessite un engagement. À l’inverse, "ne pas
croire" est une position de non-engagement, une suspension de jugement en
l’absence de preuves convaincantes.
La logique biaisée ?
Vous mentionnez que la logique serait "biaisée par une croyance selon
laquelle on ne croit pas". Ce n’est pas le cas. La position athée (ou
agnostique) que vous critiquez repose précisément sur le refus de poser une
affirmation en l’absence de preuves suffisantes. Ce n’est pas un biais,
mais une méthode rationnelle qui respecte les principes de logique et
d’épistémologie.
En conclusion, la distinction entre ne pas croire et croire que... est
cruciale. La logique athée que vous semblez critiquer repose sur une
exigence de preuves avant d’accepter une croyance, ce qui est à la fois
cohérent et rationnel. Réduire cela à une croyance déguisée est une
simplification qui ignore cette nuance essentielle.
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-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes,(...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de sevautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanitéintelligente. C'est un instinct." - Céline