Re: Qu'est ce que l'homosexualité ?

Le 26/10/2022 à 22:39, Martial a écrit :

Le 26 octobre 2022 à 22:19 , Stéphane, C'est exprimé :
 

Le 26/10/2022 à 05:18, ST a écrit :

["Followup-To:" header set to fr.bio.medecine.]
On 2022-10-25, Stéphane <Steph@n.e> wrote:
>

Pourquoi se soignerait-il puisque ce n'est pas une maladie.

>
C'est, au strict minimum, une déviance. Lorsque c'est exposé
publiquement, c'est de l'exhibition sexuelle et on est à la limite du
problème psychiatrique.
>

De mon point de vue, il n'y a rien de plus beau à observer que deux
femmes qui s'embrassent...

>
Et ça, c'est du voyeurisme, une autre déviance sexuelle. On observe
pas des gens ayant une activité sexuelle. À moins de participer à
l'acte, c'est à dire être dans le secret de la chambre. Sinon, c'est
déjà une forme de viol.

>
Oh les grands mots tout de suite. C'est quand même pas moi qui tourne
autour du pot depuis le 12 octobre en utilisant des termes empruntés à
la psychanalyse sans bien comprendre la notion de libido en psychanalyse
tout en la réduisant à la généralisation et la "génitalisation" de ses
propres conflits à peine masqués.
>
Assurez d'être instruit un minimum dans le domaine avant d'affliger un
diagnostic sans consistance.
>
Je vois un esthétisme évidant de deux miroirs qui se font face,
provoquant chez l'observateur externe une résonance sensuelle dont
l'éphémère cliché tente de ne pas perturber l'expérience qui se déroule
sous ses yeux et tentera de le reproduire virtuellement, plus tard, dans
l'intimité de ses fantasmes à l'abri des regards. ;-)
>
Pour les voyeurs, internet regorge de pornographie ancêtre de minitel rose.
>

 une maladie auto-immune c'est une maladie mais pas l'homosexualité ? tout ce qui
sort en biologie du comportement normal d'une cellule dans un corps est considérer
comme maladie, mais tu veux dire pas un comportement anormal chez les homosexuel ?
Ce comportement d'être attiré sexuellement pas le même genre que lui même n'est pas
une maladie mentale de la libido ?
 Une tête de femme sur un corps d'homme, ce n'est pas une maladie mentale ?
 c'est de la mauvaise foi pour avoir la conscience tranquille voir faire celui qui
est ouvert a toutes les bizarreries de l'être humain, mais désolé pour moi un
homosexuel à un comportement anormal, donc il est bien malade de quelque chose et
là ou ça cloche chez lui c'est ça libido, si la libido était une cellule alors
cette cellule ne ce comporte pas comme elle le devrais, donc on la considère comme
malade donc un homosexuel est malade mental de la libido, point barre.
 je suis schizophrène, ma maladie quand je entre crise me fait faire des choses qui
me mette en danger pour moi même, la c'est une maladie mentale, alors que le
homosexuel qui lui met son corps au service de la perversion sexuel lui il n'est
pas malade ? rappelons le c'est une sexualité de chiotte, la maladie de
l'homosexuel fait qu'il a des rapports avec des hommes, moi la schizophrénie c'est
une maladie qui me pousse a être un danger pour moi même, avec des jeune sec etc...
l'homosexualité est une maladie qui pousse l'homme a avoir des relations sexuel
avec des hommes./
 point barre
 alors arrête de faire ta sainte nitouche, et donne ton avis pas celui que tu a lu
sur un bouquin que tu répète sans réfléchir! sert toi de ta tête merde en supposant
quelle ne soit pas malade!

Je te donnerai une réponse plus large demain ou après car ce soir, il est tard et j'ai besoin de me reposer. Je sais que tu connais la teneur de ma réponse.
Pour faire court ce soir, l'homosexualité fait partie intégrante de la psyché humaine. Lors de la grossesse de la mère, le cerveau se développe et développe les fonctions neuronales et archaïques liées à la reproduction dans un bain amniotique et de sang dont l'équilibre hormonal influe sur cette spécialisation "masculine" ou "féminine". C'est ce que l'ont appel L'inné. Ces processus biologiques sont hermétiques au champ social, sociologique, idéologique et religieux qui voient se développer cet embryon/fœtus.
Pour l'acquit, c'est dès les premiers jours après la naissance, jusqu'à la maturité du cerveau, à la fin de l'adolescence, où seuls des évènements traumatisants peuvent influencer l'orientation de l'individu.