Re: Microphysique transactionnelle, le photon s'il y a lieu.

Liste des GroupesRevenir à fs physique 
Sujet : Re: Microphysique transactionnelle, le photon s'il y a lieu.
De : jcl (at) *nospam* invalid (JC_Lavau)
Groupes : fr.sci.physique
Date : 24. Apr 2022, 16:35:40
Autres entêtes
Organisation : Nemoweb
Message-ID : <g8MkQnnBe7HU-6Y-9wBa1o-iaNI@jntp>
References : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
User-Agent : Nemo/0.999a
Le 24/04/2022 à 12:54, François Guillet a écrit :
Dans son message précédent, JC Lavau a écrit :
Le 23/04/2022 à 16:45, François Guillet a écrit :
JC Lavau avait écrit le 20/04/2022 :
A affirmation extraordinaire, on demande des preuves sérieuses. Tu prétends que dans UNE onde individuelle, transmettant un quantum d'action par cycle, de Planck, entre UN SEUL émetteur et UN SEUL absorbeur, plus rien n'est synchrone dans ce transfert, et que des périodes sont perdues en cours de route, ou que d'autres sont rajoutées.
On t'écoute. Quelle serait la physique de ce grésillement dans le trolley ? Quel serait le parasite qui rajoute ou qui enlève des périodes ? Quelle serait sa thermodynamique ?
 Ote-moi d'un doute. Tu veux dire un nombre _réel_ ("réel" au sens mathématiques) de périodes ?
Si c'est le cas, évidemment. S'il ne s'agissait que de diviser la distance par la longueur d'onde, je ne vois pas ce que ça apporte.
>
Faux et faux.
Nous ne disposons d'aucun moyen pour rendre non-flous ni le début ni la fin du train d'un onde individuelle (= photon). De toutes façon, nous grosses bêtes sommes très très loin d'être à la bonne échelle pour prétendre "J'y  étais".
>
Dans notre macro-espace, la distance entre émetteur et absorbeur n'a aucun lien avec la longueur du train de l'onde individuelle. Tandis que cette longueur du train d'onde, comptée en périodes, a tout à voir avec les définitions et stabilités des états initiaux et finaux, de l'émetteur et de l'absorbeur.
 Soyons concret. La "longueur du train de l'onde individuelle", quel est son ordre de grandeur, disons à 90% de l'énergie contenue ?
J'ai déjà signalé des dizaines de fois des expériences d'interférences à grande différence de chemin optique. Avec les moyens des années soixante, ils avaient abouti à pas loin du mètre dans le domaine visible, avec des sources donnant la meilleure finesse chromatique de l'époque, donc sans lasers, mais avec des tubes à gaz. La finesse est limitée par l'agitation thermique et les reculs des molécules émettrices.
Donner la longueur du train de l'onde individuelle (comptée en périodes) est équivalent à donner la finesse spectrale, la précision métrologique de la fréquence.
J'ai déjà donné plusieurs fois la longueur d'un photon Mössbauer du fer 57, de l'ordre de la dizaine de mètres. Tout repose sur le parfait empêchement des reculs de l'émetteur et de l'absorbeur. Et tant pis pour la mythologie chère à Michel Talon quand l'appareillage complet est bien plus petit que cette longueur de photon.
Avec un maser à hydrogène, on aboutit à une longueur de cohérence de l'ordre de la moitié de la distance Terre-Lune.
Au contraire, un laser femtoseconde ne donne guère que trois pseudo-périodes ; pas bezef.

Date Sujet#  Auteur
19 Apr 24 o 

Haut de la page

Les messages affichés proviennent d'usenet.

NewsPortal