Re: Insaisissable photon (et pour cause...)

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Sujet : Re: Insaisissable photon (et pour cause...)
De : chakim555 (at) *nospam* gmail.com (Quarkim)
Groupes : fr.sci.physique
Date : 10. May 2022, 10:43:44
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Le mardi 10 mai 2022 à 09:50:46 UTC+2, JC_Lavau a écrit :
Le 10/05/2022 à 09:00, Quarkim a écrit :
Mon esprit sombre dans un tourbillon quand j’essaye de saisir un photon. Ma
question est peut-être con, mais pourquoi la lumière ne peut se déplacer
qu’à c? On peut mettre une luciole dans une bouteille et dire regarde ce que
j’ai attrapé. Par contre, on ne peut emprisonner un photon dans une bouteille.
Aussitôt créé, il s’enfuit comme le lapin d'Alice. Ou alors il est absorbé
par la paroi et un autre photon est émis. Et quand il est émis, il passe
instantanément de rien à c. Pourquoi il passe directement à c? Encore un truc
quantique insaisissable? J’ai beau retourner la question dans ma tête, je ne
trouve pas d’explication physique visualisable par mon esprit. Mais puisqu’il
est question de retourner quelque chose, j’émets l’idée suivante:
 
On sait que la lumière dans son étrange mouvement se comporte comme un infini.
c+c=c. infini+infini=infini=1/0. Quand un atome d’hydrogène se désexcite, son
électron passe à un niveau d’énergie inférieur avec émission d’un photon
qui se déplace instantanément à la vitesse c=1/0 puisque c se comporte comme un
infini. Avant son émission, ce photon n’existe pas, ou alors il a une existence
potentielle ou virtuelle avec une vitesse inexistante ou nulle =0/1. Donc il
semblerait qu’au moment où le photon est émis, il y a un retournement
instantané du 0/1 qui devient 1/0. Et là une idée en appelle une autre. Est-ce
que le spin d’un électron en orbite dans un atome se retourne instantanément
quand l'électron passe d’un niveau d’énergie élevé à un niveau bas avec
émission d’un photon?
Ce n'est pas un objet.
 
Regarde où tu trouveras une définition :
https://www.researchgate.net/publication/355916841_27_noxious_and_surreptitious_postulates_are_rejected_by_the_Transactional_Microphysics
 
1. Les absorbeurs existent. Les « aspects corpusculaires » n’existent
pas. En microphysique aucune description n’est valide si l’absorbeur
n’y figure explicitement.En conséquence, une physique fine des
absorbeurs doit remplacer les slogans hâtifs.
 
2. L’unité de phase intervient dans la constante de Planck ;
l’action-par-cycle de Planck n’est pas l’action tout court,
maupertuisienne.
 
3. Postulat Broglie-Dirac : Dès qu’une particule a une masse, alors les
fréquences intrinsèques de Broglie et de Dirac-Schrödinger jouent
chacune leur rôle. La broglienne mc²/h pour chaque interférence d’un
quanton avec lui-même, la Dirac-Schrödinger 2mc²/h pour toute
interaction électromagnétique, par exemple la dispersion Compton.
 
4. Postulat de Fermat-Fresnel : Pour toute onde individuelle, les trajets
réels arrivent en phase, éventuellement à un nombre entier de périodes
près (cela s’appelle alors une interférence). D’où la géométrie
du fuseau de Fermat entre absorbeur et émetteur. Fuseaux au pluriel en
cas d’interférence sur le trajet.
 
5. Tout photon a un absorbeur. Un photon est une transaction réussie
entre trois partenaires : un émetteur, un absorbeur, et l’espace qui
les sépare ou les milieux transparents ou semi-transparents qui les
séparent, qui transfère par des moyens électromagnétiques un quantum
de bouclage h, et respectivement une impulsion-énergie qui dépend des
repères respectifs de l’émetteur et de l’absorbeur.
Complication n° 1 : en diffusion Rayleigh, la transaction est à cinq
partenaires : émetteur, absorbeur, molécule de diazote pinçante et
virante, et avec recul, et les deux espaces intermédiaires traversés.
Complication n° 2 : Une expérience de type Aspect est aussi à cinq
partenaires, avec deux absorbeurs pour un seul émetteur de deux photons
complémentaires.
Complication n° 3 : C’est la différence entre deux états
stationnaires de l’émetteur ou de l’absorbeur (ou des deux) qui fixe
la transaction photonique à un quantum de bouclage de Planck, h, via
l’équation de Schrödinger ; mais si ni l’émetteur ni l’absorbeur
ne sont tenus par des états stationnaires, par exemple l’électron dans
un synchrotron côté émission, alors quel miracle peut bien obtenir la
seconde quantification traditionnellement postulée par l’église
officielle ? Nous n’avons pas la réponse.
Côté absorbeur : accélérer un électron par une ddp, que ce soit dans
un tube cathodique ou un accélérateur linéaire, on ne sait pas
quantiser l’onde électromagnétique absorbée : zéro états
stationnaires avant/après de l’électron accéléré.
 
6. Les propriétés des foules d’ondes individuelles découlent des
propriétés des ondes individuelles, et pas l’inverse.
 
7. La flèche du macro-temps ne découle que de la thermodynamique, et pas
des lois d’évolution de la microphysique.
 
8. Le dieu d’Isaac Newton, chargé de tout voir simultanément,
n’existe pas. Le temps d’Isaac Newton, supposé paramètre universel
et ubiquiste, n’existe pas non plus. Tout au plus des macro-temps
locaux, simples émergences statistiques locales. On distingue les
macro-temps des macro-systèmes tels que le laboratoire, des micro-temps
dans lesquels s’inscrivent tous les tâtonnements d’ondes brogliennes
qui vont aboutir à des transactions réussies.
 
9. Principe de rétrosymétrie de Kirchhoff. Dans notre faible gravité,
loin d’un horizon de Schwarzschild, tout trajet optique réel est
réversible.
 
10. Non, il est impossible d’isoler un système quantique, comme on
isole ses équations au tableau noir : il est impossible d’écranter le
bruit de fond de Broglie-Dirac. Il est impossible de prédire quelle
transaction va surgir de ce clapotis ni quand. Les fréquences impliquées
sont inaccessibles à l’échelle humaine ; le théorème de la variété
requise d’Ashby est là pour ruiner tous nos fantasmes d’omniscience,
et de plus les innombrables micro-temps en œuvre sont bidirectionnels,
orthochrones comme rétrochrones - Dirac oblige.
 
11. Plus le principe moral : on s’interdit de censurer les résultats
expérimentaux qui embarrassent la doctrine au pouvoir.Il est incorrect et
contraire à la déontologie scientifique de dissimuler aux étudiants
tant de faits expérimentaux qui embarrassent les copenhaguistes : toutes
les absorptions spectrales, toutes les interférences telles que couches
anti-reflets, lames quart d’onde, couleurs interférentielles, effets
Goos-Hänchen en polarisation plane et Imbert-Fédorov en polarisation
circulaire, preuves de la largeur non négligeable de chaque photon.
Vaste liste.
Ils vous ont caché la transparence résonnante Ramsauer-Townsend,
strictement ondulatoire, et établie depuis 1921. Si l’électron est
toujours ondulatoire, comment vont-ils conserver leur mystérieux dualisme
onde-corpuscule qui impressionne tant les foules ébaubies ? Ainsi que de
nombreux autres résultats expérimentaux quotidiens mais incompatibles
avec l’idéation corpusculaire des Göttingen-copenhaguistes. Il y a une
nette économie de postulats, et une grosse économie de concepts..
Les propriétés de la transformation de Fourier sont simplement
héritées, ne sont donc pas érigées comme quelque nouveau principe.Les
concepts magiques de « superposition d’états (corpusculaires),
intrication (d’états théoriques corpusculaires), measurement,
psychisme et conscience de l’observateur », hé bien on s’en moque :
Sire, je n’avais pas besoin de cette hypothèse.

Si je résume bien, pour lever le mystère mon cher Watson, il faut que je raisonne (et résonne) en terme d'onde plutôt qu'en corpuscule copenhaguien et que je revoie la notion du temps à petite échelle qui n'est pas la même dans notre monde macro-physique.

Date Sujet#  Auteur
19 Apr 24 o 

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