Sujet : Re: Sport et mort subite
De : usenet.233ph (at) *nospam* slmail.me (STE)
Groupes : fr.bio.medecineDate : 05. May 2023, 05:38:52
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On 2023-05-04, Olivier <
olivierabrieu@free.invalid> wrote:
On dit vaccin. Tous les gens normaux disent vaccin. Idem pour les
scientifiques.
Tu peux dire "vaccin", mais ça explique pourquoi les taux de
vaccination des autres maladies descend. Il y a une perte de confiance
de la population sur les "vaccins" en général parce qu'on assimile un
traitement génique expérimental et dangereux avec des vrais vaccins
utilisés depuis la nuit des temps.
Quant à Singapour, un cadeau :
>
- Phase 1 : le covid circule peu car situation insulaire, restriction
des entrées, quarantaines forcées ralentissement de l'activité
économique, impact délétère sur la vie quotidienne).
Explique-nous la Malaysie qui a les mêmes résultats, qui n'est pas une
ile, qui a eu une politique chaotique et mal suivie.
Rappel: la densité de la population à Singapour est 40 fois plus
élevée qu'en France. Le confinemement a duré 6 semaines en tout sur
l'année et il n'y a eu aucune restriction sur les libertés de
circulation (sauf en cas de test positif).
Il y a eu de nombreux foyer de "cas" à Singapour, mais AUCUN mort dans
ces cas. Les seules décès étaient des personnes très agées et très
malades avant la pandémie. On peut largement parler de morts
naturelles.
- Phase 2 : on vaccine à tour de bras si bien que 83 % de la population
est protégée. Le vaccin empêche les formes graves, mais limite
insuffisamment la transmission.
et surtout le taux de mortalité explose à ce moment précis alors qu'il
n'y a eu aucun changement de restriction.
- Phase 3 :
Finies les mesures contraignantes, bien plus liberticides qu'en Europe.
Flambée du COVID malgré le vaccin, mais tu va voir la suite.
https://www.rfi.fr/fr/asie-pacifique/20211009-singapour-face-%C3%A0-une-flamb%C3%A9e-des-cas-de-covid
BLAH BLAH BLAH, la propagande n'a aucune valeur, si les non-injectés
meurent, ils auraient du mourir en 2020, au pic de la pandémie. Pas en
Octobre 2021 alors que plus de 90% de la population a été injectée.