Sujet : Re: traitement covid-19 : réduction significative (44%) de la mortalité par rapport aux soins standards
De : olivier (at) *nospam* monarobase.it (Olivier @)
Groupes : fr.bio.medecineDate : 08. Nov 2023, 21:24:07
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Le 08/11/2023, Paul Aubrin a supposé :
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297523000914
Moi aussi, j'aime rire.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/New_Microbes_and_New_InfectionsNew Microbes and New Infections est une revue scientifique du groupe Elsevier consacrée aux germes nouvellement découverts, et clair exemple de népotisme des revues médicales1. Elle est connue pour avoir permis à Didier Raoult et à ses collègues de l'IHU de Marseille, très représentés dans le comité de direction de la revue, d'y publier un très grand nombre d'articles, au point qu'elle est surnommée « la gazette de l'IHU »2.
[...]
En 2017, le Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur sur l’IHU de Marseille note que cette publication sert à publier des articles rejetés par d’autres revues4. Les experts estiment que la création de ce journal « qui sert à publier des articles refusés par les autres revues, est quelque peu désespérée »5. Publier dans ce journal médiocre contrôlé par les chercheurs de l'institut est stratégique: un système national de calcul appelé Sigaps conditionne une partie du financement des CHU au nombre d'articles publiés, quelle que soit leur qualité. En 2017 par exemple, l'IHU a publié un article dans New Microbes and New Infections tous les cinq jours en moyenne, ce qui a rapporté 800 000 € à l’institution6.
Le journal est remarqué pendant la pandémie de Covid-19, quand Clara Locher4 et ses collègues notent que l'auteur le plus prolifique de ce journal, Didier Raoult, a cosigné 32 % des 728 articles publiés depuis sa création en 2013. Le rédacteur en chef du journal et six autres membres du comité éditorial étaient de proches collègues de Didier Raoult7. Ensemble, ils avaient cosigné 44 % des articles du journal
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