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Le lundi 1 mai 2023 à 18:00:27 UTC+2, Julien Arlandis a écrit :Oui et quel est le problème ? Définir la mesure serait incompatible avec la logique déductive ? ? ?Le 01/05/2023 à 13:25, Richard Verret a écrit :___________dimanche 30 avril 2023 à 20:30:13 UTC+2, Julien Arlandis a écrit :Il n'y a pas de méthode déductive, toute discipline scientifiqueLa physique est la science de la mesure, le point de départ de cette discipline est donc de définir proprement et d'une manière opérationnelle ce que l'on mesure pour mettre en relation les grandeurs observables.C’est un point de vue, moi, j’adopte la méthode déductive.
applique par définition la déduction logique mais pour que déduction se fasse il faut de la rigueur et du sens.
Bonjour Julien ! D’un côté vous me dites que «le point de départ de la physique est de définir de manière opérationnelle ce que l’on mesure » et d’un autre que «toute discipline scientifique applique la méthode déductive».
Accepter un postulat sans pouvoir le démontrer ne signifie en rien qu'il ne faille pas le confronter à l'expérience. Prenez le premier postulat de la relativité encore appelé principe de relativité, on ne peut pas le démontrer théoriquement mais on le vérifie expérimentalement. Idem pour la vitesse constante de la lumière, ça ne se déduit d'aucun principe mais ça se mesure et se vérifie très bien.«un postulat est une proposition que l'on demande d'admettre comme principe d'une démonstration, bien qu'elle ne soit ni évidente ni démontrée» (https://www.cnrtl.fr/definition/postulat). Un postulat n’a donc pas besoin d’être confronté à l’expérience. Je trouve donc que vos deux propositions sont contradictoires.La méthode déductive, aussi appelée “déduction logique” ou “approchehypothético-déductive”, est une méthode de travail scientifique. Elle apourbut d’expliquer un phénomène en partant d’un sujet ou d’une hypothèsesurun phénomène (https://www.scribbr.fr/methodologie/methode-deductive/).En physique le postulat doit pouvoir se confronter à l'expérience et donc à la mesure, sinon on n'est pas en train de faire de la physique, on est alors dans un autre domaine (métaphysique, philosophie, poésie...) qui échappe au sujet traité par ce groupe de discussion.
Cette phrase n'a pas de sens, il faut dire que toutes les horloges appartenant à un même référentiel peuvent être synchronisées entre elle selon une convention qu'il convient de décrire.J’aurais dû rajouter: tous les points d’un même espace sont au même temps.Postulat 3. Le temps est une notion qui rend compte du changement dans lemonde (https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Temps).
Ce postulat n'a pas de sens physique puisqu'il ne permet d'indiquer dans quelles conditions les horloges indiquent le même instant, la méthode utilisée pour synchroniser les horloges n'étant pas évoquée la théorie ne permettra pas de décrire le temps dans un autre référentiel.Postulat 4. Un espace de points fixes entre eux est muni d’un temps t. Conséquence: des espaces distincts peuvent avoir des temps différents.
Dans ce cas vous vous appuyez sur la convention de synchronisation des horloges d'Einstein ?Ça ne veut rien dire.Un espace E est à un temps t, un autre espace E’ (i.e. en mouvement par rapport à E) est, à priori à un temps t’ qui peut être différent de t.Je reprends ici le postulat de la relativité einsteinienne sur le temps, qui dit que le temps n’est peut-être pas absolu mais qu’il diffère d’un référentiel à l’autre.
N.b. Typhon m’a reproché de ne pas utiliser le vocable référentiel ou repère. Lui qui est à cheval sur les termes devrait me suivre sur ce point. Je connais le terme repère en maths, c’est une base munie d’une origine, quant à référentiel, c’est plus un ensemble de points matériels fixes entre eux qu’autre chose.Oui.
D'où sortent toutes équations tirées du chapeau, quel rapport avec les postulats énoncés ? Pourquoi b = arsh v/c, comment ça se démontre, comment se déduit k = 1/ (1 + sqrt(v/c)^2) des postulats énoncés ?C’est par un long cheminement que je suis arrivé à poser y = b f, et b = arsh v/c. C’est donc un postulat, il faut le prendre comme tel.
Quant au coefficient k je me suis planté, je pensais avoir fait la rectification, mais la racine carré d’un nombre au carré, c’est un peu inutile. Je profite de votre question pour rectifier mon erreur k = 1/sqrt(1 + (v/c)^2), il provient de la dérivée de arsh v/c (https://www.methodemaths.fr/fonctions_hyperboliques/#argsh).Je zappe tout le reste qui n'a pas plus de sens que ce qui précède.C’est votre droit.
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