Sujet : Re: Quand l'I.A. pète les plombs sur la RR.
De : python (at) *nospam* invalid.org (Python)
Groupes : fr.sci.physiqueDate : 15. May 2023, 16:27:32
Autres entêtes
Organisation : A noiseless patient Spider
Message-ID : <u3tj14$32plt$9@dont-email.me>
References : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
User-Agent : Mozilla/5.0 (X11; Linux x86_64; rv:102.0) Gecko/20100101 Thunderbird/102.3.3
Le 15/05/2023 à 17:20, Dr. Richard "Hachel" Lengrand a écrit :
Le 15/05/2023 à 16:13, Python a écrit :
Le 15/05/2023 à 16:07, Julien Arlandis a écrit :
Ça évite de tomber dans les absurdités d'un Lengrand/Hachel qui
prétend que "avoir le même trajet, i.e. la partie spatiale de
la trajectoire" pourrait être une propriété indépendante du
référentiel choisi. i.e. supposer un espace absolu qui est hors
jeu depuis... Galilée !
J'ai dit ça, moi?
Je ne crois pas avoir parlé de "même trajet" ou de "même chemin spatial"
que dans le cas de deux fusées quittant la terre au même instant...
Si, tu l'as dit, ici et sur s.p.r. pour deux voyageurs entre la
Terre et Tau Ceti, l'un en mouvement uniforme, l'autre en
accélération constante (départ v=0) tout ceci par rapport à
la Terre. Départ et arrivée concomitants.
(c'est à dire aussi au même instant pour tous les observateurs et tous les référentiels de l'univers).
Je veux dire par là qu'il s'agit d'un événement conjoint.
Tu as "posé" la règle suivante : si les trajectoires spatiales sont
les mêmes ALORS les intervalles de temps propres sont égaux.
Tu n'as pas vu le problème que je t'ai alors signalé : la première
propriété est dépendante du référentiel (vraie dans celui de la
Terre, faux dans un autre référentiel galiléen, à commencer par
celui du jumeau en déplacement inertiel) et la seconde, sur les
temps propres, NE l'est PAS.
Donc ton affirmation n'a aucun sens.