Re: Quand l'I.A. pète les plombs sur la RR.

Le 21/05/2023 à 06:47, robby a écrit :

Le 20/05/2023 à 17:18, Richard Verret a écrit :
 

... celle [la vitesse] des ondes électromagnétiques est fonction du
milieu de propagation.

 

 https://www.superprof.fr/ressources/scolaire/physique-chimie/seconde/optique/indices-de-refraction.html

 ça c'est dans la matière ( et plus précisément, dans un diélectrique ), pas dans le vide.
 et pour mémoire, c'est une sorte d'illusion macroscopique ( en tout cas si on cherche a y voir des photons ) :
 en vrai, le passage de la lumière, c'est a dire un champ electromagnétique oscillant, dans un matériau diélectrique, c'est a dire dont les charges négatives ( electrons ) sont captives autour du noyau ( positif ) fait osciller ( ovaliser ) leurs orbites, ce qui produit en retour un champs réactif ( décalé ).
Ce qu'on appelle "champs lumineux dans la matière", c'est juste la somme du champ incident et du champ reactif ( en d'autres termes, interférences ). Les lois de compositions des ondes font que la résultante a l'apparence d'un champs simple de longueur d'onde allongée et d'une vitesse de propagation amoindrie.
 dans le vide il n'y a pas de matériau, donc pas de champs réactif, donc juste le champ incident pur qui se propage à c.

Toutes les ondes dans le matériau se propagent à vitesse c, en décomposant on devrait retrouver pour chaque onde une onde plane de forme :
wave(i) = A_i*cos(w_i*(t±r/c)+phase_i).
La théorie de l'indice de réfraction dit qu'en sommant tout ça on devrait retrouver une onde résultante de la forme :
A_r*cos(w_r*(t±r/v)+phase_r) où v = c/n
0ù n = f(Ai, w_i, phase_i).
Mathématiquement ça tient la route ?