Il faut préciser les choses...

Les transformations obtenues par Henri Poincaré (du haut vol avec le recul), complètement incomprises par Lorentz, et honteusement copiées par Einstein, vont conduire à la notion de contraction des distances et des longueurs observées transversalement. L'=L.sqrt(1-Vo²/c²)
D'=D.sqrt(1-Vo²/c²)
Admettons.
MAIS, pour se faire, il faut décrire les choses. On part de deux référentiels galiléens, dont l'un glisse sur l'autre à très grande vitesse, admettons 0,8c comme dans la plus par des exemples. J'ai données mes transformations ; ce sont les mêmes que celles qui sont connues. Sur l'exemple suivant, on a un petit événement E dans R, et on cherche à savoir ce qu'il devient vu dans R',
lorsque le sujet O' croise le sujet O. <http://news2.nemoweb.net/jntp?ObnsJxN7aisjUx0FVy3AN3DpMAY@jntp/Data.Media:1>
Mais passons. Cependant, on nous dit que dans les référentiels tournants, qui ne sont plus du tout les mêmes cas de figures, on va avoir les mêmes transformations, et une contraction circonférentielle sans contraction radiale.
C'est doublement absurde, un disque observé est un disque observé. Il est impossible qu'un disque placé là devant moi diminue sa circonférence sans modifier son rayon, c'est géométriquement et naturellement absurde (quoi qu'on dise avec des courbatures machinchouettes hors propos de ce que moi, JE VOIS du disque).  De plus, dans le cas de deux disques tournant l'un sur l'autre, l'un fixe, l'autre en rotation, les points O et O' sont invariablement conjoints. Ils sont au même endroit, ont la même inertie, la même chronotropie. Ils sont même INTERCHANGEABLES sans problème.  Bref, ils appréhendent la même chose des deux disques (je ne dis aps que les deux disques sont les mêmes entre eux, je dis que O et O' sont interchangeables).  Dès lors, n'est ce pas une erreur d'appliquer à O et O' dans le cas de disques tournants, les mêmes transformations que pour des cas trés différents?  Il est dommage que se poser la question engendre des réflexes de haine ou de mépris.
 R.H.