Re: Le plus difficile...

Le 15/07/2023 à 14:38, Richard Hachel a écrit :

Le 15/07/2023 à 14:20, Python a écrit :

Le 15/07/2023 à 14:13, Richard Hachel a écrit :

Le plus difficile, pour écrire un pdf portant sur la théorie de la
relativité restreinte, surtout si l'on est très pointilleux sur les
mots, c'est d'écrire la première page.
>
La première page consiste à expliquer d'abord qu'on va faire glisser un
référentiel R' sur l'axe Ox d'un référentiel R.
Jusque là, ça va...
>
Mais la deuxième ligne, on s'en prend tout de suite plein la gueule...
C'est du brutal.
"On déclenche alors les montres..."
>
Pô Pô Pô Pô Pôôô ....
>
R.H.

>
Si tu as des difficultés, relis le paragraphe I.1 du papier d'Albert
Einstein de 1905, c'est vraiment très bien expliqué.

 
 Ce n'est au texte et à l'orthographe que j'en veux, mais aux concepts.
 
 Tu ne peux pas accorder "absolument" des montres qui ne sont pas au même
endroit.
 
 Chacune verra toujours l'autre retarder sur elle d'une valeur naturelle
et incontournable Et=x/c
 
 Alors les référentiels tapissés de montres "synchrones", ça me pose
problème.
 
 Des modes de synchronisations, ça fait 40 ans que j'y réfléchis, et la
meilleure définition que j'ai pu trouver c'est : synchronisées par, et
pour, un observateur placé dans une quatrième dimension abstraite, très
loin, et perpendiculairement aux trois autres, dans chaque référentiel,
et qui va mesurer les rapports de chronotropie entre R et R'. A noter que
les deux lignes de visée de ces observateurs vers R' et R ne sont pas
parallèles entre eux.
 
 On mesure donc le rapport du passage du temps entre deux référentiels,
leur chronotropie relative.
 
Mais ce n'est qu'une partie du problème (l'effet gamma).
 
 Maintenant, s'il faut se placer dans les référentiels, et en y
distribuant une multitude de montres, il faudra prendre en compte
l'anisochronie. Chaque montre remarquant que le présent absolu n'existe
pas dans son propre référentiel, et que toute montre voit une autre
montre retarder et réciproquement de Et=c/c sur elle, sans qu'on puisse
jamais rien y faire.
 
 D'où entre parenthèse la connerie de la croyance religieuse aux
tachyons, concept non seulement faux, mais absolument absurde.
 
R.H.
 

Boh, déjà les montres, il faut savoir comment elles mesurent le temps. Des
ressorts avec échappement, attention à la température, aux frottements, à
l'usure etc. ?
Des pendules simples mais de quelle longueur si celle-ci peut varier si on passe
d'un endroit à un autre et bien sûr si "g" n'est pas partout pareil.

Horloges à quartz qui peuvent dériver selon la température ou le vieillissement etc.

Reste les horloges dites "atomiques" qui utilisent des fréquences supposées
stables d'éléments genre Cs excités électro-magnétiquement, désormais dans le
domaine optique. C'est l'état de l'art.
Bon, ce n'est quand même pas absolu.

Mais on constate qu'on arrive quand même à synchroniser les horloges de  70
labos, mais c'est *approximatif*, le temps ne s'écoulant pas partout à la même
"vitesse", ici encore selon la RG.

Citation . : Aujourd'hui, les horloges atomiques ont été transformées en
horloges optiques et sont suffisamment précises pour que la mesure du temps soit
influencée par une variation d'altitude de 30 centimètres de par l'effet
gravitationnel dit de la théorie de la relativité générale

https://fr.wikipedia.org/wiki/Horloge_atomique

Prenez votre temps. La théorie doit suivre...

 Quant aux longueurs,

https://www.lne.fr/fr/comprendre/systeme-international-unites/metre

On considère c comme ayant une valeur définie

On mesure, on mesure, et alors seulement on calcule