Le samedi 29 juillet 2023 à 08:51:18 UTC+2, Richard Verret a écrit :
Le 29/07/2023 à 01:02, Yanick Toutain a écrit :
Tant que vous Richard ne commencez pas à DOUTER de notre existence, quand bien même nous cessions de participer à usenet, tant que vous aurez conservé au fond de vous une mince couche de #gnoséologie #matérialiste, nous garderons espoir que vous pourrez admettre 20 ans plus tard, que chaque corps de l'univers a une unique vitesse à chaque instant. Comme Newton l'expliquait. Quand bien même cette vitesse pourrait varier. Et donc que les pseudo vitesses radiales des relativistes sont des ILLUSIONS D'OPTIQUE. La simple variation de longueur de trajets des photons par unité de temps du récepteur de signaux successifs. Ce que Bard et ChatGPT comprennent quand on leur explique patiemment.
Dans l’espace-temps de Minkowski il y a différents chemins pour aller d’un point A à un point B. C’est un concept qui n’est pas évident à appréhender, il est lié à une théorie. Elle est admise, vérifiée et exploitée. Ce que nous, les Richard, proposons c’est d’appliquer à la cinématique la distinction qui existe entre la réalité perceptible, observable, et la réalité en soi.
«La chose en soi (Ding an sich) est un concept kantien signifiant la réalité telle qu'elle pourrait être pensée indépendamment de toute expérience possible. Le monde de la chose en soi est autre par rapport à celui du phénomène ; il est au-delà de toute connaissance sensible. » https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Chose_en_soi
Dans une vingtaine d’années cette proposition sera acceptée par toute la communauté scientifique et même par Bard et ChatGPT qui ne raisonnent qu’avec ce qui a été validé.
Richard Verret
Vous n’avez aucun doute sur l’existence « en soi »
1° de votre main
2° de Richard Hachel
3° de Jean Pierre Messager
4° de 1,3 milliards de Chinois
5° de la Lune
6° de Aldébaran
et votre CONNAISSANCE de ces « choses en soi » AUGMENTE CHAQUE JOUR
Kant est un magouilleur hypocrite démasqué par Lénine
L’INCONNAISSABILITE de la « chose en soi » est une IDIOTIE démentie en permanence
MATÉRIALISME
et
Empiriocriticisme
Notes critiques sur une
Philosophie réactionnaire
« Le caractère essentiel de la philosophie de Kant, c'est qu'elle concilie le matérialisme et l'idéalisme, institue un compromis entre l'un et l'autre, associe en un système unique deux courants différents et opposés de la philosophie. Lorsqu'il admet qu'une chose en soi, extérieure à nous, correspond à nos représentations, Kant parle en matérialiste. Lorsqu'il la déclare inconnaissable, transcendante, située dans l'au-delà, il se pose en idéaliste. Reconnaissant dans l'expérience, dans les sensations, la source unique de notre savoir, Kant oriente sa philosophie vers le sensualisme, et, à travers le sensualisme, sous certaines conditions, vers le matérialisme. Reconnaissant l'apriorité de l'espace, du temps, de la causalité, etc., Kant oriente sa philosophie vers l'idéalisme. Ce double jeu a valu à Kant d'être combattu sans merci tant par les matérialistes conséquents que par les idéalistes conséquents (y compris les « purs » agnostiques de la nuance Hume). Les matérialistes ont reproché à Kant son idéalisme, ils ont réfuté les caractères idéalistes de son système, démontré le caractère connaissable, l'en‑deçà de la chose en soi, l'absence d'une distinction de principe entre elle et le phénomène, la nécessité de déduire la causalité, etc., non des lois a priori de la pensée mais de la réalité objective. Agnostiques et idéalistes lui ont reproché l'admission de la chose en soi comme une concession au matérialisme, au « réalisme » ou au « réalisme naïf ». «
« «pour Tchernychevski, comme pour tout matérialiste, les objets ou, pour employer le langage alambiqué de Kant, les « choses en soi » existent réellement et nous sont parfaitement connaissables, tant dans leur existence que par leurs propriétés et leurs rapports réciproques réels)... « et que s'ils étaient connaissables, ils ne pourraient être l'objet de notre pensée, celle‑ci introduisant toute la matière de la connaissance en des formes tout à fait différentes de celle de l'existence réelle ; que les lois mêmes de la pensée n'ont qu'une valeur subjective », ... (avis aux machistes brouillons : pour Tchernychevski, comme pour tout matérialiste, les lois de la pensée n'ont pas uniquement une valeur subjective ; elles reflètent, en d'autres termes, les formes de l'existence réelle des objets ; loin de différer, elles ont une parfaite ressemblance avec ces formes)..
QUELLES SONT VOS REPONSES ?
« «Le conférencier admet‑il la division essentielle des systèmes philosophiques, telle que l'énonce Engels, en matérialisme et idéalisme, étant donné que la tendance de Hume dans la philosophie moderne, tendance appelée « agnostique » par Engels, qui déclare que le kantisme est une variété de l'agnosticisme, est une tendance médiane, hésitant entre les deux précédentes ?
1. Le conférencier admet‑il que la théorie de la connaissance du matérialisme dialectique se fonde sur l'admission de l'univers extérieur et de son reflet dans le cerveau humain ?
2. Le conférencier reconnaît‑il la justesse de la thèse d'Engels sur la transformation de la « chose en soi » en « chose pour nous » ?
3. Le conférencier reconnaît‑il la justesse de l'affirmation d'Engels selon laquelle « l'unité réelle du monde consiste en sa matérialité » ?1
4. Le conférencier reconnaît‑il la justesse de l'affirmation d'Engels selon laquelle « la matière sans mouvement est tout aussi inconcevable que le mouvement sans matière » ?2
Le conférencier admet‑il que les idées de causalité, de nécessité et de loi, etc. reflètent dans le cerveau humain les lois de la nature, les lois du monde réel ? Ou Engels aurait‑il eu tort de l'affirmer ?3