Re: Théories correctes mais fausses

Le 29/10/2023 à 19:29, Richard Verret a écrit :

Le 29/10/2023 à 17:38, Julien Arlandis a écrit :

Comment te faire comprendre que si tu peux exprimer tes grandeurs réelles en fonction des observables, par exemple v = Vr/γ, ce que tu appelles le réel n'est qu'un intermédiaire de calcul sans le moindre impact sur les relations physiques, et que tu peux gommer les paramètres réels des relations par un simple changement de variables pour n'exprimer que des relations entre les observables.

Certes! mais encore faudrait-il le savoir et ne pas faire les calculs avec les mesures effectuées —comme cela se fait actuellement— mais avec les grandeurs réelles,

C'est ce que je dis.
Il faut faire les mesures avec les grandeurs réelles, puis convertir ensuite en valeurs observables. C'est ce que je fais pour les référentiels accélérés, car s'il est déjà difficile de travailler en valeurs observables dans les référentiels galiléens, sans être obligé de poser des rectificatifs, je te dis pas le problème lorsqu'on passe aux référentiels accélérés. Prenons les référentiels galiléens : on est obligé de pourrir la beauté et la simplicité de la physique
pour sauver les meubles. Comme on ne VEUT plus dire p=mv, on sabote l'intelligence humaine avec des théories à la con, et on dit : 'Un autobus devient deux autobus par changement de référentiel".
 Pourrir pour pourrir, ils continuent : " On va vous coller un time-gap sous le tapis, pour vous montrer qu'Hachel est un crétin". Comme ils sont dans la merde, et au lieu de se laver de cette merde, ils disent restons dans la merde, et inventons-nous un time gap comme poussière sous le tapis. Quand l'autre gonzesse arrive en bout de course, elle saute dans le temps! "  Tout cela tourne à la folie.
 Manque plus que Python pour dire qu'il est la plus grand génie de la critique internationale et qu'il va venir entarter la gueule du contradicteur devant son cabinet pour prouver qu'un Python, c'est pas con, et
que ça a toujours raison.
 On en est là, mes amis.
 Voyons les choses en face.  R.H.