Re: Le problème de l'anisochronie relativiste.

Le 02/02/2024 à 14:54, Richard Verret a écrit :

 Dans la théorie de la relativité, il est dit que la durée propre d’un phénomène est invariante; la durée propre d’un phénomène est la durée mesurée par un observateur qui observe ce phénomène qui se passe en un point de son référentiel (Messager ne va pas comprendre mais ça ne fait rien, d’autres comprendront), la durée impropre de ce phénomène est celle que perçoit un observateur en mouvement par rapport à ce référentiel. C’est une durée fictive, les durées réelles sont les durées propres. La durée propre d’un phénomène est invariante dans un changement de référentiel, c’est à dire que la durée de ce phénomène est la même qu’elle se passe dans tel ou tel référentiel.

 C'est exact.

Les durées réelles étant les durées propres, elles sont invariantes dans un changement de référentiel, c’est dire que le temps est invariant dans un changement de référentiel, donc qu’il est absolu.

Il faut éviter ce terme, qui peut induire des confusions.

Le problème est donc de trouver une théorie qui explique les observations dans le cadre d’un temps absolu.

 La théorie ont l'a déjà : relativité de la notion de simultanéité (anisochronie), relativité de la chronotropie.  Des référentiels galiléens jusqu'aux référentiels tournant en passant par les référentiels uniformément accélérés.
 Il suffit juste de la faire COMPRENDRE correctement y compris aux grands pontes de la physique.  Le problème n'est donc plus scientifique, mais humain, je ne cesse de le dire.  "Nous ne voulons pas que cet homme règne sur nous, car nous nous avons des bites grosses comme des courges de Cambera".
 Ce qui bien compris veut dire aussi (ponte de physique ou simple rigolo des forums) :  "J'ai des caprices de crétin".
 Bonne chance à qui voudra expliquer la théorie sans paradoxe évident, et plus clairement, plus complétement et plus logiquement qu'ils ne le font.  R.H.