Re: Le problème de l'anisochronie relativiste.

Le vendredi 16 février 2024 à 17:31:44 UTC+1, Richard Hachel a écrit :

Le 16/02/2024 à 16:01, Yanick Toutain a écrit :

Le vendredi 16 février 2024 à 14:31:23 UTC+1, Richard Verret a écrit :

 

Arrivée et départ ont eu chacun sa vitesse absolue

Tu y tiens, toi, à ta vitesse absolue, et ton espace absolu.
 
Tu es le seul à croire encore à ça.
 
C'est un dogme religieux?
 
C'est un peu comme la terre plate du temps des grecs.
 
Il est tout à fait normal de croire à la terre plate quand on est un
grec.
 
Mais une fois que les savant grec ont remarqué que le 21 juin, au niveau
du tropique nord, à midi
le soleil éclaire le fond des puits d'Egypte, mais pas à Athènes, on
peut se poser la question du pourquoi.
 
Mieux encore, on peut calculer l'angle à Athènes (il est droit à
Assouan).
 
De là, en connaissant la distance Athènes-Assouan, les grecs ont pu
donner une estimation de la rotondité de la terre.
 
Même chose lors des éclipses de lune. L'ombre de la terre se projette
peu à peu sur la lune, et quelque soit la position de la lune
la projection de l'ombre est sphérique.
 
On savait donc que la terre était ronde.
 
Et puis il y a eu la première photo satellite.
 
L'espace absolu, c'est pareil, on l'a cheché partout ceomme le sucre
dans le lait chaud, on ne l'a jamais trouvé.
 
Les appareil d'aujourd'hui, mille fois plus précis que
l'interféromètre de Michelson-Morley, n'ont toujours pas trouvé de
déplacement de la terre dans le "vide absolu".
 
R.H.

Vous êtes inculte
1) l'interféromètre de Michelson Morley Miller n'avait pas pour fonction de prouver l'inexistence de l'espace absolu mais de prouver l'existence de l'éther.L'éther et l'espace absolu sont deux concepts totalement différents. Pour  prendre un exemple:  l'expression "Vent d'espace absolu" (calquée sur "vent d' éther") est tellement ridicule que quiconque prétendrait que l'espace absolu et l'éther sont la même chose passerait non seulement pour un inculte mais pour un imbécile fini.
2) Deuxièmement Michelson ne prenait pas en considération le déplacement du soleil. Les 30 km par seconde parcourus par la Terre en révolution sont un paramètre du trajet en hélice de la Terre.