Re: Les vaccins covid à ARN ont bien été la cause de troubles menstruels

Le 26/01/2024 à 11:07, bruno a écrit :

Pierre Aribaut.com a émis l'idée suivante :

Ils auront mis le temps à l'admettre :
https://sante.lefigaro.fr/les-vaccins-a-arn-contre-le-covid-ont-bien-provoque-des-troubles-menstruels-20240125
>
Le corps médical nous dit qu'il ne comprend pas :
"Lors de la pandémie, de nombreuses femmes ont fait état de perturbations de leur cycle menstruel après avoir été vaccinées contre le Covid. Une nouvelle étude française appuie ce lien, bien qu’encore largement incompris."
>
Et tous ces gens bien-pensants mettent 3 plombes à admettre que ça existe (principe de déni de base) :
"Depuis le début des campagnes de vaccination anti-Covid, voici près de deux ans et demi, de nombreuses femmes ont fait état de perturbations dans leurs cycles menstruels. Sur la base de ces déclarations, l'Agence européenne du médicament (EMA) a fini par inclure la présence de saignements menstruels importants comme effet secondaire possible des vaccins à ARN messager, ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna. Mais ce lien restait fortement débattu dans la communauté scientifique."
>
Si vous voulez voir plein de témoignages de victimes des vaccins covid chez les femmes, le hashtag "ouestmoncycle" est votre ami, contrairement à l'article qui reste très léger, ce n'est pas juste quelques troubles menstruels temporaires, certaines ont eu des problèmes beaucoup plus graves :
https://twitter.com/hashtag/ouestmoncycle
>
Et là visiblement, les bien-pensants provax du corps médical préfèrent ignorer ces gens-là.
>

il faut tout lire, pas que le titre !
 "Ils ont comparé leur situation à un groupe témoin de femmes n'ayant pas été prises en charge pour ce motif. Selon les résultats, le risque d’une telle perturbation des cycles menstruels serait légèrement plus élevé la première fois qu'une femme reçoit un vaccin Moderna ou Pfizer, chacun administré en deux doses successives. Cependant il ne serait que transitoire, estiment les chercheurs car il disparaîtrait après trois mois, même lorsqu'une dose de rappel est administrée ultérieurement."
 

Après avoir nié ces effets, c'est en effet une timide reconnaissance puisque comme le rappelle le collectif créé par une injectée volontaire, ces effets durent bien plus longtemps et sont depuis la création de ce collectif nié par le corps médical fanatiquement pro-vax.