Sujet : Re: Lumière
De : jacques.lavau (at) *nospam* free.fr (JC_Lavau)
Groupes : fr.sci.physiqueDate : 27. Oct 2024, 20:36:55
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Le 27/10/2024 à 18:41, MAIxxxx a écrit :
Le 23/10/2024 à 10:28, Olivier Miakinen a écrit :
Bonjour,
Le 23/10/2024 04:54, Sh. Mandrake a écrit :
>
Si la lumière n'est pas constituée de grains de lumière (photons) comme
on l'a longtemps cru,
Cette supposition est inexacte. La lumière a à la fois les caractéristiques
d'une onde et celle de corpuscules, les photons. Cela dit, ces photons sont
de masse nulle, ce qui rend légitime la question que tu te poses ensuite :
A ce propos comment peut-on concilier que W= h.<nu> pour l'énergie du quantum de
lumière et que W = mc² pour une "particule" alors c'est quoi cette masse
m=h.<nu>/c²
Quand un photon "tombe" sur une particule et "crée" un couple
particule-antiparticule, quid des masses ? Un photo n'a-t-il pas alors une
masse "virtuelle" (voire "imaginaire" !) pouvant même réagir avec d'autres
photons [dans l'espace "dual" ?]
Pour ce qui est des particules avec masse, revoir ce qui a été effacé par le gang de Göttingen : la thèse de Louis de Broglie, en 1924, précédée par une note à l'Académie des Sciences de septembre 1923.
A toute masse m correspond une fréquence intrinsèque mc^2/h, qui est une fréquence de spin. D'où la longueur d'onde selon laquelle un électron interfère avec lui même, dans toute expérience d'interférence.
Découverte en 1930 par Erwin Schrödinger, une seconde fréquence intrinsèque, double de la précédente, intervient dans les phénomènes d'interaction électromagnétique, par exemple la dispersion Compton.
Dans une dématérialisation d'une paire électron-positron en deux photons gamma, il y a une remarquable conservation des fréquences. Telle qu'elle est propagée dans les manuels et dans les amphis, la rumeur n'en parle pas.
La rumeur est toute-puissante...
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