Milou a la niaque

"Ce chien courant de l'impérialisme américain" qu'est Milei le président argentin se distingue des larbins européens de deep state, des gugusses comme Sinak, Scholz, Meloni, Sanchez, Vonder la Hyène, Macron par l'énormité de ses bolas. Il va virer "a grandes patadas en el culo" (à grands coups de pied au cul) 70.000 fonctionnaires argentins afin d'équilibrer son budget ! Ce qui correspondrait en France à au moins 10 fois plus ! Allo, allo, anus brun et bombé, pourquoi tu chies de trouille ?
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« Afuera ! » : le président argentin Javier Milei compte supprimer 70.000 postes de fonctionnaires
Afin d'atteindre l'équilibre budgétaire en Argentine, le président Javier Milei a annoncé la suppression de 70.000 postes de fonctionnaires dans les mois à venir, qui vient s'ajouter aux mesures drastiques mises en place dans le pays.
Il avait fait de la tronçonneuse l'un des symboles de sa campagne. Javier Milei, le président libertarien de l'Argentine, avait promis promis de tailler allègrement dans les dépenses publiques de son pays, pour atteindre l'équilibre budgétaire. Selon Bloomberg, le chef d'État a prévu de licencier 70.000 fonctionnaires dans les mois à venir.
Cette annonce intervient après le gel des travaux publics, ou encore la fin de 200.000 plans de protection sociale, selon ses mots lors d'un événement qui s'est déroulé le mardi 26 mars.
« Il manque encore du temps avant que nous puissions récolter les fruits de l'assainissement économique »
Si la barre des cent jours à la tête de l'Argentine a été franchie par Javier Milei, le 18 mars, le pays est plongé dans la récession. Selon l’université catholique argentine, en janvier, le taux de pauvreté grimpait à 57 % de la population, contre 41 % cinq mois auparavant. Sur le plan social, Javier Milei a demandé aux Argentins de la « patience et (de la) confiance » : « Il manque encore du temps avant que nous puissions récolter les fruits de l'assainissement économique et des réformes que nous mettons en œuvre (...) mais pour la première fois de l'histoire, nous attaquons le problème par sa cause », avait-il lancé.
Budget dans le vert, mais baisse du pouvoir d'achat
Les mesures chocs du président argentin - dévaluation de 54 % du peso, libération des prix, fin des subventions aux transports et à l'énergie - ont eu un véritable impact sur l'inflation, qui a décéléré depuis décembre. Aussi, le budget mensuel s'est retrouvé dans le vert en janvier et février, pour la première fois depuis 2011. Mais c'est le pouvoir d'achat des Argentins qui a le plus subi. Celui-ci s'est effondré de 18 % en deux mois.
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Vonder la Hyène
Stupide poulaille
Deux qui la tiennent
Trois qui la raillent